«J’ai pleuré, pleuré… Je me suis dit …», Funke Akindele sur sa dépression

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Face au public, Funke Akindele a dévoilé les blessures invisibles laissées par les critiques incessantes sur les réseaux sociaux. Loin de l’image forte et souriante qu’elle projette à l’écran, l’artiste a raconté comment elle a été ciblée par des trolls à cause de sa vie conjugale.

« Il y avait une vidéo sur les réseaux sociaux où des femmes se moquaient de moi parce que je n’avais pas de mari », a-t-elle confié. « Mon Dieu ! Je vois toutes ces insultes sur les réseaux sociaux. Je vois tous ces messages qui montrent comment j’ai quitté un mari pour un autre. », a-t-elle ajouté.

Un poids trop lourd à porter seule

Les conséquences émotionnelles furent profondes : « J’ai pleuré, pleuré, pleuré. Je me suis dit : « Tu dois en parler à quelqu’un. Tu ne peux pas continuer comme ça. » »

C’est ce moment d’introspection qui l’a conduite à franchir une étape souvent taboue dans les sociétés africaines. Celle de consulter un professionnel de la santé mentale. « J’ai tendu la main et j’ai commencé à parler. J’ai fait des choses que je ne pouvais pas dire aux gens. J’en ai parlé à mon thérapeute et ça allait mieux », a-t-elle révélé.

Un message d’espoir pour ceux qui souffrent en silence

Funke Akindele a profité de cet instant de confession pour envoyer un message puissant à tous ceux qui luttent dans l’ombre.

« C’est très important que tu parles. Tu en as besoin. Tu ne peux pas tout supporter. Je suis très forte maintenant. J’ai la force d’affronter tous les défis de la vie. », ajoute-t-elle

D’après elle, pour le bien être de la santé mentale, demander de l’aide n’est pas une faiblesse, mais un acte de courage.