La suite après la publicité
La suite après la publicité

Serie A: enquête ouverte après les accusations de Mourinho contre un arbitre

La fédération italienne de football a ouvert une enquête après les accusations de José Mourinho contre le quatrième arbitre du match Cremonese-AS Roma, selon les informations de la Gazzetta dello sport.

FOOTBALL
405 vues
José Mourinho en conférence de presse
José Mourinho en conférence de presse
2 min de lecture
Google News Commenter
La suite après la publicité
Vous utilisez actuellement la version classiqueVous êtes actuellement sur la version classique du site. Rejoignez notre version 2.0 pour plus de fun, plus de rapidité et plus d'interaction.Rejoindre Maintenant

C’est un José Mourinho très en colère qui s’est présenté devant la presse hier soir après la défaite de la Roma sur la pelouse de Cremonese (1-2). Expulsé pendant la rencontre, le Special One a accusé le quatrième arbitre de touche Marco Serra, de lui avoir adressé des propos « injustifiables ». Si le Mou n’a pas révélé ce qui lui était dit, ça l’a mis suffisamment en colère pour qu’il envisage une action en justice. En attendant, la Fédération italienne de football a décidé de se saisir de l’affaire.

En effet, selon les informations de la Gazzetta dello Sport, la commission de discipline de la fédération italienne (FIGC) a ouvert une enquête pour faire la lumière sur les accusations portées par l’entraîneur de la Roma contre Serra. La même source pense savoir ce que l’arbitre assistant a dit à Mourinho pour l’énerver à ce point. D’après le média italien, il aurait répondu « mêle-toi de tes affaires » au coach portugais qui demandait des explications sur une action. Il aurait ensuite ajouté: « Tout le monde te prend par le c…, rentre chez toi. »

Malgré l’ouverture de cette enquête, José Mourinho devrait bel et bien être suspendu pour les prochains matchs à la Roma, à cause de son carton rouge. Mais l’arbitre assistant Marco Serra risque désormais lui aussi une sanction, si les accusations portées contre lui s’avéraient.

À NE PAS MANQUER

Commentaires

Vous utilisez actuellement la version classiqueRejoindre Maintenant