Live logo
Live logo
spot_img
Accueil image/svg+xml News - Infos image/svg+xml Politique image/svg+xml Procès blanchiment de capitaux: Joà«l Atayi-Guèdègbé livre ses impressions au micro de RFI

Procès blanchiment de capitaux: Joà«l Atayi-Guèdègbé livre ses impressions au micro de RFI

- Publicité-

Le verdict rendu par la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) dans le procès dit Joël Aïvo continue de nourrir les commentaires. Joint par RFI, l’expert en gouvernance et défenseur des droits humains, Joël Atayi-Guèdègbé estime que par rapport au chef d’accusation, on peut continuer de s’interroger.

Au Bénin, le procès Joël Aïvo continue d’occuper les esprits. La décision rendue par la présidente de céans et la lourdeur des peines infligées à l’agrégé de droit continue de rendre perplexe l’opinion. Au micro de RFI, l’expert en gouvernance Joël Atayi-Guèdègbé estime que les débats au cours du procès de ce lundi 6 Décembre 2021 n’a pas totalement permis d’apporter la preuve des charges portées sur le constitutionnaliste.

A lire aussi: Bénin: La FCBE en conseil national le 10 et en congrès extraordinaire le 11 Décembre prochain

L’expert en gouvernance et défenseur des droits humains affirme qu’il n’a pas eu le sentiment qu’on ait fait une démonstration qui établie des liens entre Joël Aïvo qui serait commanditaire et ceux qui ont l’intention de commencer un acte. « Il est quand même inquiétant qu’on mette à votre charge un commencement d’intention et c’est ça qui donne l’impression d’une justice expéditive ou la volonté d’en découdre coute que coute avec quelqu’un« , indique Joël Atayi-Guèdègbé.

Pour le défenseur des droits humains, l’opinion dominant c’est qu’on a l’impression de juxtaposer deux affaires pour en faire une. « C’est un sentiment. Je ne voudrais pas donner l’impression de commenter ou de remettre en cause une décision de justice. C’est à la justice de communiquer ce sentiment d’impartialité, de se montrer indépendante« ; a affirmé Joël Atayi-Guèdègbé.

A le croire, le travail de la justice, c’est d’établir les preuves irréfutables pour rassurer tout le monde dans un système démocratique. Joël Atayi-Guèdègbé se refuse néanmoins de juger le fonctionnement de la cour de répression des infractions économiques et du terrorisme. Selon lui, c’est aux juges qui sont des professionnels du droit de défendre leur honneur jusqu’au bout et d’accomplir leur mission avec la probité qui devait être de mise.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici
Captcha verification failed!
Le score de l'utilisateur captcha a échoué. Contactez nous s'il vous plait!
spot_img
Bénin

Bénin: vers une réforme structurelle pour les formations de master à l’UAC

Bénin

BAC 2025 au Bénin: forte progression de la participation féminine

Bénin

« N’ayons pas peur de penser notre propre société », Bruno Amoussou

Bénin

L’ANPS alerte sur une fausse campagne AMU pour escroquer les citoyens béninois

Monde

Israël : le « Dôme de fer » à l’épreuve des missiles balistiques lancés par l’Iran

Niger

Niger : arrestation de 04 étrangers après une attaque à Bermo

Togo

Togo : un taux de réussite global de 60,49 % au BAC1 session de mai 2025

Bénin

Fleurissement des villes du Bénin: la première phase lancée

Mali

Mali : une dizaine de terroristes tués lors d’affrontements avec l’armée

Bénin

Bénin – Parlement: vers l’adoption d’un nouveau modèle de débat d’orientation budgétaire