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« L’heure n’est plus à  la petite blague », Richard Ourou sur l’actualité autour de Djogbénou

L’actualité autour de l’ancien président de la cour constitutionnelle, Me Joseph Djogbénou, préoccupe au plus haut point le politologue Richard Boni Ouorou. Pour lui, ces récents événements ne présagent aucun avenir prospère pour le Bénin.

POLITIQUE
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La démission de Me Joseph Djogbénou de la cour constitutionnelle et son installation à la tête de sa formation politique, ne semble pas rassurer le politologue béninois Richard Boni Ouorou. Dans une publication sur les réseaux sociaux, il affirme qu’il y a quelques années, le peuple béninois aurait été heureux de savoir un Djogbénou président d’un mouvement politique de droite. Mais, aujourd’hui, poursuit-il, après son passage à la tête de la cour constitutionnelle et considérant les avantages qu’il a avec le support de son mentor pour s’élever à la tête de notre assemblée nationale par vote ou non, « un Djogbenou président d’un mouvement politique et possible président de l’assemblée est davantage une catastrophe démocratique et sociale qu’une perspective de progrès démocratique et sociale subséquemment économique« ; indique le politologue.

Pour Richard Boni Ouorou, nul besoin de rappeler les frasques, les errements et les rétropédalages aux conséquences douloureuses pour les populations et à la démocratie , qu’a occasionné le passage de Joseph Djogbénou à la tête de la cour constitutionnelle.

L’heure n’est plus à la petite blague !

Le président du mouvement « terrien, terrienne », affirme que Maître Joseph Djogbenou s’est fourvoyé à plusieurs reprises pendant son passage à la tête de la cour constitutionnelle, dans la mission de l’institution de vérifier la constitutionnalité des textes de loi.

« Par conséquent, nous avons toutes les raisons de croire qu’il ferait encore pire comme politicien avec les avantages qui sont les siens et davantage mal en tant que président d’une assemblée aux ordres et réduite à plaire à un homme ou à son camp« ; a martelé le politologue.

A le croire, les récents évènements à savoir la démission du président de la cour constitutionnelle et sa désignation comme président du parti Union Progressiste ne présagent aucun avenir prospère pour le pays et chacun de devrait prendre la mesure de la question et s’y préparer.

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