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Burkina Faso: la durée de la Transition évolutive selon le contexte sécuritaire

La durée de 36 mois proposée par les nouvelles autorités du Burkina Faso pour la Transition politique du pays est susceptible d’évoluer, selon le cotexte sécuritaire du pays.

POLITIQUE
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Dans une adresse à la nation vendredi, le président burkinabé, Paul-Henri Damiba a invité la communauté internationale à accompagner le Burkina Faso dans son processus de transition politique. En ce qui concerne le délai de la transition, un sujet qui préoccupe la CEDEAO, le président Damiba a déclaré quelle est susceptible d’évoluer, selon le contexte sécuritaire.

« Aucune fixation ne doit être faite sur la durée retenue pour la Transition parce qu’elle pourrait être révisée si la situation sécuritaire s’améliorait dans les mois à venir dans les zones à forts défis sécuritaires », a déclaré Damiba qui invite la communauté internationale à accompagner le Burkina Faso dans la lutte contre le terrorisme.

« Jamais nous ne trahirons la cause pour laquelle nous nous sommes engagés », a-t-il martelé, insistant que « la recrudescence des attaques terroristes ces derniers temps ne peut pas et ne doit pas être lue comme le signe de l’ inaction ou de l’inefficacité de ce que nous sommes en train de déployer sur le terrain ».

Le chef de l’Etat burkinabé a, dans son message, préparé la conscience collective à des décisions futures qui pourraient s’avérer difficiles à accepter par le peuple. « Il n’est dans l’intérêt de personne de restreindre volontairement les libertés chèrement acquises par notre peuple. Certaines mesures déjà édictées et d’autres à venir susciteront probablement des grincements de dents. Mais c’est le prix à payer pour sortir notre pays de l’ornière ».

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