La suite après la publicité
La suite après la publicité

Soupçonné de trafic sexuel, les résidences du rappeur P. Diddy perquisitionnées

Les demeures de Miami et Los Angeles du très puissant rappeur et producteur américain ont été le théâtre d’importants raids de la police fédérale américaine dans le cadre d’une enquête ouverte par les services de sécurité intérieure. Il est soupçonné de trafic sexuel.

CéLéBRITé
912 vues
P. Diddy
P. Diddy
2 min de lecture
Google News Commenter

SOMMAIRE

La suite après la publicité
Vous utilisez actuellement la version classiqueVous êtes actuellement sur la version classique du site. Rejoignez notre version 2.0 pour plus de fun, plus de rapidité et plus d'interaction.Rejoindre Maintenant

C’st une opération spectaculaire qui a visé lundi le rappeur américain Sean Combs, alias P. Diddy. À la demande du bureau d’enquête du département de la Sécurité intérieure de New York, des agents fédéraux, assistés de policiers armés, ont perquisitionné les résidences de la star à Los Angeles, en Californie, et à Miami, en Floride.

Si une source proche du dossier a confirmé à l’AFP que Sean Combs était bien la cible de ces opérations, les enquêteurs n’ont pas encore confirmé leur raison. Mais elles interviennent au moment où le rappeur de 54 ans est en pleine tourmente judiciaire, en lien avec des faits remontant pour certains à plusieurs décennies.

Des plaintes en cascade

Mi-novembre, son ancienne compagne, la chanteuse de R’N’B Cassie, avait été la première à déposer plainte au civil pour viol et violences physiques contre le rappeur, s’appuyant sur une loi de New York qui suspendait provisoirement la prescription. Deux jours plus tard, un accord « à l’amiable » avait été trouvé entre les deux parties.

Dans sa plainte amplement relayée par les médias américains, la chanteuse accusait la star du rap d’avoir eu un « comportement violent » et « des exigences déviantes » durant « plus d’une décennie ». Elle expliquait qu’elle avait été battue à maintes reprises et forcée à des relations sexuelles filmées avec des hommes prostitués.

Depuis, deux autres femmes ont porté plainte, dont une, à visage découvert, l’accusant de l’avoir « droguée et agressée sexuellement » en 1992. Elle assure qu’il avait filmé la scène et diffusé la vidéo en guise de « revenge porn », une pratique visant à dévoiler publiquement des images sexuelles généralement non consenties pour se venger d’une personne.

À NE PAS MANQUER

Commentaires

Vous utilisez actuellement la version classiqueRejoindre Maintenant