Sushila Karki, 73 ans et ancienne cheffe de la Cour suprême du Népal, est pressentie pour prendre la tête de la transition ouverte par la démission du Premier ministre KP Sharma Oli, consécutive aux graves émeutes survenues dans le pays, a indiqué à l’AFP un représentant des manifestants. « À l’heure où je vous parle, le nom de Sushila Karki arrive en tête de ceux cités pour diriger le gouvernement provisoire », a déclaré Rakshya, qui a participé aux discussions avec l’armée, ajoutant que « nous attendons que le président prenne une décision ».