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Manifestations contre la présence française au Tchad: prison ferme requis contre des leaders

Le Parquet tchadien a requis ce lundi, 02 ans de prison ferme, 100 000 francs CFA d’amende et 02 milliards de francs CFA de dommages et intérêts contre les six leaders de Wakit Tama arrêtés lors des manifestations contre la présence française au Tchad, le 14 mai 2022.

POLITIQUE
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Manifestation contre la France au Tchad
Demonstrators burn a French flag during an anti-French protest in N'Djamena on May 14, 2022. - Several hundred people demonstrated against the French presence in Chad, an AFP reporter noted. The protesters burned at least two flags of the former colonial power and vandalised several Total petrol stations, a "symbol" of France, tearing off pumps and taking away some of the products on display, the same source said. (Photo by - / AFP)
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Arrêtés lors des manifestations anti-françaises au Tchad, les six leaders de la société civile placés sous mandat de dépôt pour trouble à l’ordre public, atteintes aux biens et à l’intégrité corporelle, sont transférés à la prison de Moussoro, au centre du Tchad.

Alors qu’ils croupissent en prison depuis quelques semaines, les leaders de Wakit Tama savent à peu près à quoi s’en tenir. Ce lundi, le Parquet a requis 02 ans de prison ferme, 100 000 francs CFA d’amende et 02 milliards de francs CFA de dommages et intérêts contre eux. Le verdict est attendu à 14h TU.

Les six leaders incarcérés sont entre autre, Gounoung Vaima Gan-Fare, secrétaire général de l’Union des Syndicats du Tchad, Youssouf Korom Ahmat, secrétaire général du Syndicat des commerçants fournisseurs tchadiens, Massar Hissene Massar, président du Rassemblement des Cadres de la société civile, Koudé Mbainassem, président de l’Association pour la Liberté d’expression et Allamine Adoudou Khatir, ancien ambassadeur.

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