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Le Burkina Faso prend acte de l’analyse de sa situation sociopolitique faite par la CEDEAO

Le Burkina Faso prend acte de l’analyse de la situation sociopolitique faite par les participants à la conférence ainsi que leur volonté de nommer un médiateur pour le pays dans l’objectif de faciliter le dialogue entre les parties prenantes et d’assurer une transition réussie, annonce un communiqué de Ouagadougou ce jeudi 31 mars 2022.

POLITIQUE
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Le vendredi 25 mars 2022, à Accra, au Ghana, s’est tenu un sommet extraordinaire de la conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO sur la situation du Burkina Faso ainsi que celle de ses pays frères le Mali et la Guinée. Au cours de cette assise, de nombreuses décisions ont été entérinées par la CEDEAO qui a menacé de sanctionner le Burkina Faso s’il ne « libérait pas l’ancien président Roch Kaboré d’ici au 31 mars 2022 ».

Dans un communiqué dans lequel il dit être en passe de créer les conditions pour « le retour dans une résidence familiale de l’ancien président », le Burkina Faso a déclaré avoir pris « acte de l’analyse de la situation sociopolitique faite par les participants à la conférence ainsi que leur volonté de nommer un médiateur pour le Burkina Faso dans l’objectif de faciliter le dialogue entre les parties prenantes et d’assurer une transition réussie ».

La sécurisation du pays, une priorité majeure

Le Burkina Faso s’est félicité que la conférence ait reconnu la nécessité de poursuivre les efforts en matière de sécurité et ait appelé les Etats membres, l’Union Africaine, les Nations Unies, les partenaires bilatéraux et multilatéraux et la Commission de la CEDEAO à l’accompagner dans ses efforts de lutte contre la menace sécuritaire, les autorités de la transition burkinabé.

Il a par ailleurs, réaffirmé que sa plus grande préoccupation demeure la sécurisation du pays, une réponse efficace et urgente à la crise humanitaire et aux drames socioéconomiques et communautaires provoqués par l’insécurité sans oublier le renforcement de la gouvernance et la lutte contre la corruption.

« C’est fort de cette volonté primordiale, qu’une Charte consensuelle assortie d’un agenda de la Transition a été adoptée à l’issue des Assises nationales composées des Forces vives de la Nation et le Gouvernement s’attèle à la mise en place des organes », souligne le communiqué officiel.

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