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Interdit au Nigéria, Twitter écrit à  Buhari et demande un dialogue

Le réseau social Twitter a officiellement écrit à l’Etat du Nigéria, cherchant un dialogue sur les questions conduisant à la suspension indéfinie de ses opérations dans le pays.

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«Je peux confirmer que Twitter a écrit au gouvernement fédéral qu’il est prêt à parler. Comme nous l’avons toujours soutenu, la porte n’est pas verrouillée et nous sommes ouverts d’esprit mais Twitter doit y travailler », a déclaré le ministre nigérian de l’Information et de la Culture, Alhaji Lai Mohammed.

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Réitérant la position du gouvernement selon laquelle, il ne tolérerait aucune plate-forme qui serait utilisée pour déstabiliser le pays, l’autorité ministérielle a déclaré que pour que Twitter reprenne ses activités au Nigeria, il doit notamment y avoir un accord sur le contenu qu’il pourrait publier. Il ajoute que Twitter et d’autres plates-formes doivent également s’enregistrer en tant que société nigériane, obtenir une licence de la National Broadcasting Commission (NBC) et être guidés par les règles de licence ainsi que payer des impôts.

Selon le ministre, la plupart des pays commençaient à peine à se rendre compte que les plates-formes devenaient plus puissantes que même le gouvernement et devaient être réglementées. « Singapour, l’Algérie, le Pakistan, la Turquie régulent les réseaux sociaux, l’Australie l’a fait. Même l’Union Européenne qui n’a pas de lois particulières sur les médias sociaux a fait des recommandations dans un livre blanc », indique le Alhaji Lai Mohammed.

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