La suite après la publicité
La suite après la publicité

Des documents sur la stratégie nucléaire d’un pays étranger retrouvés chez Donald Trump

Un document décrivant les forces militaires d’un pays étranger, « dont ses capacités nucléaires », a été trouvé par le FBI dans la résidence de Mar-a-Lago. Le Washington Post, qui révèle cette information, ne précise pas le nom du pays, ni s’il s’agit d’un gouvernement ami ou ennemi.

POLITIQUE
387 vues
benin web tv | Image d'illustration
Image d'illustration
2 min de lecture
Google News Commenter
La suite après la publicité
Vous utilisez actuellement la version classiqueVous êtes actuellement sur la version classique du site. Rejoignez notre version 2.0 pour plus de fun, plus de rapidité et plus d'interaction.Rejoindre Maintenant

Des informations sur les forces militaires d’un pays étranger ont été trouvées parmi les documents saisis par le FBI dans la résidence de l’ex-président américain Donald Trump en août, selon le Washington Post. Elles concernaient notamment ses capacités nucléaires.

Le Washington Post ne donne pas de détail supplémentaire et indique que ses sources n’ont pas révélé de quel pays il s’agissait. Le 8 août, la police fédérale américaine (FBI) avait perquisitionné Mar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride, et saisi des cartons de documents confidentiels, que le républicain n’avait pas rendus après avoir quitté la Maison-Blanche, malgré de multiples demandes.

Quelques jours après la perquisition, le Washington Post avait assuré que le FBI était à la recherche de documents liés à des armes nucléaires.

Expert indépendant

Depuis cette opération de police spectaculaire et inédite pour un ancien chef d’Etat américain, Donald Trump, qui envisage ouvertement de se représenter à la présidentielle de 2024, tempête contre un acte qu’il juge « illégal et inconstitutionnel ». Il répète avoir été visé pour des raisons politiques.

Lundi, une juge a tranché en sa faveur et ordonné qu’un expert indépendant soit nommé pour passer en revue les documents saisis le 8 août. Cette décision interdit temporairement aux enquêteurs fédéraux de les utiliser dans le cadre de leur enquête pénale. Parmi les textes saisis lors de l’opération policière figurent 18 documents classés « top secret », plus de 50 « secrets » et 31 « confidentiels ».

À NE PAS MANQUER

Commentaires

Vous utilisez actuellement la version classiqueRejoindre Maintenant