Une jeune infirmière de 25 ans exerçant dans l’arrondissement de Daagbé, commune d’Ifangni, s’est éteinte brusquement dans des circonstances floues. Son départ prématuré a plongé sa famille dans la tristesse, alors même qu’elle venait à peine d’entamer sa carrière professionnelle.
Selon les informations du web radio Crystal News, le mardi 30 juillet 2024, feu Mathilde Y. M. a quitté son lieu de travail pour rendre visite à sa grand-mère à Porto-Novo, dans le quartier de Tokpota. Vers 22 heures, elle a prévenu sa sœur qu’elle passerait chez un collègue, et que ce dernier devait la ramener à Daagbé dans la nuit.
Le lendemain matin, un appel du Centre Hospitalier Universitaire Départemental de l’Ouémé et du Plateau (CHUDOP) a joint la soeur de la victime pour l’inviter à se présenter de toute urgence au centre hospitalier. À l’arrivée de sa mère et de sa sœur, on leur a annoncé le décès de l’infirmière suite à un « petit malaise », et son corps a été déposé à la morgue.
Pour sa famille, les circonstances de son décès demeurent obscures. En effet, le corps de Mathilde a été découvert sans ses sous-vêtements. Après des recherches poussées, ces derniers auraient été retrouvés dans une résidence, avec des traces de feuilles triturées et aspergées, selon les informations de Crystal News.
Et cela s’est déroulé dans une résidence, dans le quartier de Djèrègbé, dans la commune de Sèmè-Podji, à la suite d’une perquisition de la police qui, par ailleurs, a ouvert une enquête pour élucider le mystère.
Vraiment un mystère sans nom cette situation. La residence n’appartient à personne? Comment la jeune dame s’est rendû à d’hopital?