La suite après la publicité
La suite après la publicité

Xi Jinping « est un dictateur », Joe Biden persiste et signe

Joe Biden, au sortir d’une rencontre avec Xi Jinping en Californie, a affirmé mercredi qu’il considérait toujours ce dernier comme un « dictateur », reprenant une expression qui a par le passé suscité l’indignation de Pékin.

DIPLOMATIE
810 vues
benin web tv | Image d'illustration
Image d'illustration
2 min de lecture
Google News Commenter

SOMMAIRE

La suite après la publicité
Vous utilisez actuellement la version classiqueVous êtes actuellement sur la version classique du site. Rejoignez notre version 2.0 pour plus de fun, plus de rapidité et plus d'interaction.Rejoindre Maintenant

Le président des États-Unis et son homologue chinois ont convenu de « maintenir les lignes de communication ouvertes », a annoncé mercredi lors d’une conférence de presse Joe Biden. « Lui et moi avons convenu que chacun d’entre nous pouvait décrocher son téléphone, appeler directement et qu’il serait entendu immédiatement », a-t-il ajouté.

« C’est un dictateur dans le sens où voilà un homme qui dirige un pays, un pays communiste, qui repose sur une forme de gouvernement totalement différente de la nôtre », a en outre déclaré le président américain à propos de son homologue chinois. Dans la matinée de jeudi, la Chine a jugé la sortie du président américain comme étant « extrêmement erronée », la qualifiant également de « manipulation politique. » « Ce type de discours est extrêmement erroné et constitue une manipulation politique irresponsable. La Chine s’y oppose fermement », a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Mao Ning.

Sommet « constructif et productif »

La rencontre va toutefois déboucher sur une reprise des communications militaires de haut niveau, suspendues depuis plus d’un an, ont fait savoir les deux superpuissances. Le sommet de quatre heures, tenu dans une résidence cossue à une quarantaine de kilomètres de San Francisco, a été « constructif et productif », selon Joe Biden. Le démocrate de 80 ans a assuré que les deux hommes pourraient décrocher leur téléphone et se parler « directement et immédiatement » en cas de crise.

À NE PAS MANQUER

Commentaires

Vous utilisez actuellement la version classiqueRejoindre Maintenant