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Vote de la loi d’amnistie: « Nous pouvons encore convaincre le chef de l’Etat », Armand Gansè

De passage dimanche 21 avril dans l’émission Zone Franche sur Canal 3 Bénin, Armand Gansè a évoqué les chances de la proposition de loi spécial proposant une amnistie et/ou l’abandon des poursuites judiciaires à l’égard de certaines personnalités politiques.

POLITIQUE
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La proposition de loi selon un point de presse du porte parole de l’Assemblée nationale a été inclus parmi les plus de 25 points à l’ordre du jour de la première session ordinaire de l’année 2024.

Selon le député du Bloc Républicain, cette loi pourrait prospérer malgré les opinions actuelles des uns et des autres. Cependant, la condition qu’il a mentionnée est que les initiateurs doivent approcher la majorité parlementaire.

« A l’Assemblée Nationale, ce sont les jeux de coulisses qui se font. Ceux qui sont dépositaires de cette loi connaissent les négociations qu’ils doivent engager pour faire voter leur loi « , a indiqué l’ancien DG de la Sogema.

Armand Gansè reproche à l’opposition de ne pas faire les démarches qu’il faut à l’endroit de leurs collègues de la majorité parlementaire. Selon lui, au parlement, c’est la négociation qui est de mise. Il fait remarquer par exemple que jusque là, les députés du parti Bloc Républicain n’ont pas été rapproché par les initiateurs de la proposition de loi.

Nous pouvons encore convaincre le chef de l’État

La question que bon nombre de béninois se posent est de savoir si la majorité parlementaire pourrait aller dans le sens contraire du patron de la mouvance dont la position tranchée est de n’avoir aucune intension de pardonner à l’ancienne ministre Reckya Madougou.

Sur cette crainte Armand Gansè se montre rassurant. Le président Patrice Talon peut évoluer dans sa position.

« Nous pouvons encore convaincre le chef de l’État s’il y a eu des négociations à l’Assemblée Nationale. Mais on n’a pas encore été approché pour engager des démarches », a indiqué le parlementaire.

L’ancien directeur de la Sogéma croit que les membres du parti au pouvoir pourraient persuader le Président de la République de reconsidérer sa position sur la loi, à condition que l’opposition engage des pourparlers avec les membres du parti au pouvoir.

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