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«Â Poutine est un monstre », Justin Trudeau en réaction à  la mort de Navalny

Justin Trudeau a qualifié le président russe Vladimir Poutine de «monstre» lors d’une entrevue accordée à CBC Winnipeg vendredi matin, en réaction à la mort en détention de l’opposant russe Alexeï Navalny, dont le premier ministre a fait l’éloge.

POLITIQUE
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«Malheureusement, on voit à quel point Poutine a peur de quiconque tient tête contre lui», a dit M. Trudeau dans une entrevue subséquente à la chaîne locale d’ICI Radio-Canada de Winnipeg. C’est toutefois dans son entrevue à la CBC que le premier ministre a comparé M. Poutine à un «monstre», un terme fort qui risque de faire réagir sur la scène internationale.

Sur X, M. Trudeau a parlé d’une mort «tragique et atterrante»«Soyons clairs : il n’aurait tout simplement jamais dû être emprisonné. Il est important que ces événements nous servent de rappel, à savoir qu’on doit continuer de promouvoir, protéger et défendre la démocratie partout dans le monde. Sinon, les conséquences sont trop lourdes», est-il écrit sur son compte officiel.

«Alexeï Navalny a payé de sa liberté dans l’espoir d’un avenir meilleur et plus démocratique pour le peuple russe. L’annonce de sa mort est un rappel douloureux de la persistance du régime oppressif de Poutine», a renchéri la ministre des Affaires étrangères Mélanie Joly sur X. De même, le porte-parole aux Affaires étrangères du Parti conservateur, Michael Chong, a condamné «Poutine et la Fédération de Russie». La mort de l’activiste «n’est pas la marque d’une grande puissance mais d’un État paria», dit-il.

La mort d’Alexeï Navalny, âgé de seulement 47 ans, a provoqué une avalanche de réactions d’horreur à travers le monde. Il purgeait depuis 3 ans une peine de 19 ans pour «extrémisme» dans des conditions qualifiées d’«atroces». Les États-Unis et l’Union européenne ont vivement condamné une mort politique.

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