Le gouvernement roumain a dénoncé, dimanche 18 mai, une « campagne virale de fausses informations » sur les réseaux sociaux, notamment sur Telegram. Cette campagne viserait à « influencer le processus électoral » et comporterait des signes d’une ingérence russe. Cette position a été déclarée par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères via un message diffusé sur X, peu après que le fondateur de Telegram, Pavel Durov, a accusé, sans la nommer, la France d’avoir tenté de s’immiscer dans les élections. Paris a catégoriquement rejeté ces accusations.