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Mali: la CEDEAO continue de mettre la pression sur Assimi Goà¯ta pour l’organisation des élections

Après avoir eu une rencontre avec les dirigeants maliens de la transition, l’ancien président nigérian et émissaire de la CEDEAO à Bamako, Goodluck Jonathan, a indiqué que l’organisation espère que la date des prochaines élections sera finalisée avant la fin de l’année.

POLITIQUE
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Alors que l’année 2021 tend progressivement à sa fin et que la probabilité de la tenue d’élections en février prochain au Mali est de plus en plus faible, la CEDEAO a décidé de relancer les autorités de transition dans le pays sur la nécessité de préciser une date pour les élections générales. Mardi, Goodluck Jonathan a rencontré Assimi Goïta, le président de la transition, à Bamako, pour évaluer les progrès vers les élections promises à la suite d’un coup d’État militaire en août 2020.

La CEDEAO a sanctionné les dirigeants de la transition et a menacé de durcir ces dernières si aucun progrès concret n’est réalisé d’ici la fin décembre. Selon l’émissaire, la CEDEAO espère que « d’ici la fin de l’année, nous aurons tout un calendrier en place pour l’organisation des élections ». Les élections étaient prévues pour se dérouler en février de l’année prochaine mais précédemment, les dirigeants maliens ont déclaré que le vote serait probablement retardé de quelques semaines ou moins au-delà de la date limite convenue pour des raisons de sécurité.

Il n’y a eu aucun commentaire sur le calendrier de la réunion ou des élections des autorités de transition. La transition du Mali est considérée comme un test clé de l’engagement des dirigeants ouest-africains à protéger la démocratie contre un retour aux putschs fréquents qui ont valu à la région sa réputation de « ceinture de coups d’État » dans les décennies qui ont suivi la fin du colonialisme.

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