Live logo
Live logo
Accueil Blog Page 3

LDC: Liverpool éliminé, les coupables désignés

Liverpool quitte prématurément la Ligue des Champions après une cruelle élimination face au Paris Saint-Germain en huitièmes de finale. Battus 1-0 à Anfield après avoir remporté l’aller sur le même score, les Reds ont été définitivement écartés lors de la séance de tirs au but, où Gianluigi Donnarumma a brillé.

Si Liverpool peut regretter son manque de réalisme, plusieurs joueurs sont particulièrement pointés du doigt, à commencer par Mohamed Salah. Attendu comme le leader offensif de son équipe, l’Égyptien a été transparent sur l’ensemble de la double confrontation. En difficulté face à Nuno Mendes, il n’a pas réussi à peser sur la rencontre et a perdu un nombre record de ballons. Les médias, tant anglais qu’espagnols, ne l’ont pas épargné, ont souligné qu’une élimination dès les huitièmes compromettait définitivement ses chances pour le Ballon d’Or.

Autre joueur sous le feu des critiques : Darwin Nuñez. Entré en jeu, l’attaquant uruguayen a manqué son tir au but, aggravant une prestation déjà jugée insuffisante. Son échec, largement commenté, illustre les difficultés qu’il rencontre depuis son arrivée chez les Reds.

Face à une équipe de Liverpool en manque d’inspiration, le PSG a su imposer son jeu et a fait preuve d’un sang-froid redoutable aux tirs au but. Grâce à cette qualification, les Parisiens poursuivent leur parcours en Ligue des Champions, laissant Liverpool se concentrer désormais sur la Premier League. Une sortie de route qui passe mal pour les Reds, dont les espoirs européens s’évanouissent brutalement.

Coopération diplomatique: la CEDEAO renforce ses liens avec Cuba, l’Angola et l’Éthiopie

0

Le président de la Commission de la CEDEAO, Dr Omar Alieu Touray, a accueilli les ambassadeurs de Cuba, d’Angola et d’Éthiopie au siège de l’institution à Abuja, au Nigeria, afin de renforcer la coopération entre l’organisation et ces trois nations.

Lors de son échange avec Miriam Morales Palmero, ambassadrice de Cuba auprès du Nigeria et de la CEDEAO, les discussions ont porté sur la coopération dans le secteur de la santé, notamment le partenariat avec l’Organisation Ouest Africaine de la Santé (OOAS).

De son côté, José Bamoquina Zau, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire d’Angola, a discuté avec le président Touray des préparatifs du prochain sommet américain-africain sur les entreprises, prévu à Luanda. Ce forum de haut niveau constituera une opportunité stratégique pour renforcer les relations économiques et les échanges commerciaux entre l’Afrique et les États-Unis.

Quant au nouvel ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l’Éthiopie au Nigeria, Legesse Geremew Haile, il a exprimé sa volonté de collaborer étroitement avec la CEDEAO.

Le président Touray a, pour sa part, réaffirmé l’engagement de l’organisation à approfondir ses partenariats et à concrétiser la vision de ses fondateurs en faveur d’une intégration régionale dynamique, fondée sur un marché commun, la libre circulation des biens et des personnes, ainsi que le renforcement du commerce intra-africain.

LDC: quatre équipes déjà qualifiées pour les quarts de finale

Quatre équipes ont validé leur ticket pour les quarts de finale de la Ligue des champions, à l’issue des rencontres disputées mardi soir: Le FC Barcelone, l’Inter Milan, le Bayern Munich et le PSG.

Vainqueur 1-0 à l’aller, le FC Barcelone a confirmé à domicile en s’imposant 3-1 face à Benfica. Raphinha, auteur d’un doublé, a été l’homme du match et a permis aux Blaugranas de retrouver les quarts après plusieurs années d’absence.

Le Bayern Munich a confirmé sa supériorité face au Bayer Leverkusen, s’imposant 2-0 à l’extérieur après avoir déjà gagné 3-0 à l’aller, pour un score cumulé de 5-0.

De son côté, l’Inter Milan n’a pas tremblé face au Feyenoord. Après un succès 2-0 à l’aller, les Nerazzurri ont assuré leur qualification en l’important 2-1 au retour.

Le Paris Saint-Germain et Liverpool ont offert un duel intense. Battus 1-0 au Parc des Princes, les Parisiens ont refait leur retard à Anfield, poussant ainsi les deux formations à aller aux tirs au but pour se départager. Un exercice qui a souri aux Rouge & Bleu, qui ont réussi quatre tentatives contre un seul pour les Reds.

Le Sénégal ratifie un accord avec le Maroc pour le transfert de ses détenus

0

Après plus de vingt ans d’attente, l’Assemblée nationale du Sénégal a enfin validé la convention bilatérale entre Dakar et Rabat, permettant aux détenus sénégalais incarcérés au Maroc d’exécuter leur peine dans leur pays d’origine, selon les informations d’APA.

Ce mardi 11 mars 2025, les députés ont adopté le projet de loi n°03/2025, autorisant le Président Bassirou Diomaye Faye à ratifier la Convention entre le Sénégal et le Maroc sur l’assistance aux détenus et le transfert des personnes condamnées. Signé à Rabat le 17 décembre 2004, cet accord établit un cadre juridique garantissant la protection consulaire et facilitant le transfert des prisonniers entre les deux nations.

Défendue par Yassine Fall, ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, cette ratification a été soumise à l’examen conjoint de la Commission des affaires étrangères et de la Commission des lois. Le ministre a insisté sur l’importance de ce texte pour renforcer la coopération judiciaire et assurer une meilleure protection des ressortissants sénégalais incarcérés au Maroc.

Si l’initiative a été globalement bien accueillie par les parlementaires, certains ont exprimé des inquiétudes quant aux conditions actuelles de détention et au retard significatif dans l’adoption de cet accord, signé il y a plus de vingt ans.

Actuellement, environ 299 Sénégalais sont emprisonnés au Maroc, principalement pour des infractions liées à l’immigration clandestine, au trafic de stupéfiants et à divers délits. Le Maroc constituant une étape clé pour de nombreux migrants subsahariens en route vers l’Europe, plusieurs citoyens sénégalais se retrouvent en situation irrégulière et confrontés à des poursuites judiciaires.

La convention précise les modalités de transfert des détenus, qui peuvent être demandées par le prisonnier lui-même, l’État de condamnation ou l’État d’exécution. Elle définit également les conditions d’exécution des peines et prévus que les frais seront pris en charge fondamentalement par l’État sénégalais, sauf accord contraire entre les parties.

Parakou: un écolier perd la vie en chutant d’un manguier

Un drame s’est produit au quartier Camp Adagbè, dans le premier arrondissement de Parakou, où un jeune garçon a perdu la vie après une chute d’un manguier.

L’incident s’est déroulé le dimanche 9 mars 2025, alors que la victime, un élève en classe de CM2 à l’École Primaire Publique Camp Adagbè, tentait de cueillir des mangues. Malheureusement, une branche fragile a cédé sous son poids, provoquant une chute brutale.

Le jeune garçon a été violemment projeté au sol, subissant de graves blessures à la tête et au cou. Il a été transporté d’urgence à l’hôpital, où il a reçu les premiers soins.

Malgré les efforts des médecins, son état s’est rapidement dégradé. Après quelques heures de soins intensifs, il a succombé à ses blessures dans la matinée du lundi 10 mars 2025.

Bénin: le corps d’une fillette retrouvé dans une brousse à Toffo

Un drame tragique s’est produit ce lundi 10 mars 2025 dans l’arrondissement de Damé, commune de Toffo, où le corps sans vie d’une fillette a été découvert dans une brousse du village Ahouanhonou.

Selon les informations rapportées par la radio locale Sédohoun de Houègbo, la famille de la victime est sous le choc et soupçonne fortement un frère consanguin d’être impliqué dans ce décès.

Selon leurs déclarations, le comportement du suspect, depuis son retour du Nigéria, a suscité des inquiétudes. Il est également connu pour sa consommation régulière de chanvre indien, ce qui alimente davantage les suspicions à son encontre.

Interpellation et enquête en cours

Alertée par la famille, la police républicaine s’est rendue sur les lieux du drame et a procédé à l’interpellation du suspect, qui a été placé en garde à vue au commissariat de Sèhouè.

De sources proches de l’enquête, le Procureur de la République près le Tribunal de première instance de deuxième classe d’Allada aurait ordonné la remise du corps à la famille après les constatations d’usage.

Les élections générales de 2026: la Cena cède à certaines exigences de l’opposition

Le mardi 11 mars 2025, le président de la Commission électorale nationale autonome (CENA), Sacca Lafia, a reçu en audience une délégation du Cadre de concertation des partis politiques de l’opposition.

Cette rencontre, qui s’est déroulée en présence du directeur général des élections, Boucary Abou Soulé Adam, et de l’ensemble des membres du Conseil électoral, visait à échanger sur les préparatifs des élections générales de 2026.

À l’issue de la séance, Antoine Guédou Vissetogbé, porte-parole du Cadre de concertation, a fait le point des discussions, mettant en avant plusieurs avancées.

Point des discussions

Selon le point fait par Antoine Guédou Vissetogbé, porte parole du cadre de concertation de l’opposition, des points d’accord ont été retenus par les deux parties. Il s’agit notamment :

  • – Suivi du processus de sélection des agents électoraux: la CENA a accédé à la demande de l’opposition d’être présente lors de la phase pratique de la composition des agents électoraux.
  • – Accès aux listes des postulants: l’opposition a sollicité et obtenu l’engagement de la CENA pour la communication de la liste des coordonnateurs d’arrondissement candidats à ces postes.
  • – Problème d’application de l’article 93 du Code électoral: un point de cet article impose au coordonnateur d’arrondissement d’afficher la dernière copie des résultats et d’en fournir une aux partis candidats. La CENA a reconnu des difficultés d’application et suggéré une modification législative pour clarifier cette disposition.

« La CENA a exprimé son embarras quant à l’application de cette mesure et a recommandé une révision du texte pour éviter toute confusion », a déclaré Antoine Guédou Vissetogbé.

Créé le 10 novembre 2024, le Cadre de concertation de l’opposition regroupe plusieurs partis et figures politiques opposés au régime en place, dont Les Démocrates, GSR, MPL, NFN ainsi que Daniel Edah et son mouvement « Nous le ferons ». Son principal cheval de bataille reste l’audit du fichier électoral, perçu comme essentiel pour garantir des élections crédibles et apaisées en 2026.

Le 8 janvier 2025, un comité de pilotage de l’audit a été institué sous la direction de Jean-Baptiste Elias. En soutien à cette initiative, le gouvernement a accepté de dédier des fonds à cet audit, permettant ainsi au cadre de concertation d’œuvrer à une évaluation rigoureuse du fichier électoral.

Avec ces avancées, l’opposition espère instaurer plus de transparence et d’équité dans le processus électoral. Le dialogue amorcé avec la CENA marque une étape décisive vers des élections générales plus inclusives et démocratiques en 2026.

Diplomatie: Mauro Vieira reçu en audience par Patrice Talon

Le mardi 11 mars 2025, le président de la République du Bénin, Patrice Talon, a accueilli au Palais de la Marina le ministre brésilien des Relations extérieures, Mauro Vieira, accompagné d’une importante délégation.

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations bilatérales entre les deux pays et du suivi des engagements pris lors de la visite de Luiz Inácio Lula da Silva au Bénin en mai 2024.

Des échanges axés sur la coopération économique et sécuritaire

Au cours des discussions, le président Talon a mis en avant les liens historiques et culturels unissant le Bénin et le Brésil, rappelant l’importance de cette coopération pour le développement des deux nations.

Plusieurs axes stratégiques ont été abordés, notamment le développement durable et la lutte contre le changement climatique, la coopération en matière de sécurité et de lutte contre la criminalité transnationale, le renforcement des échanges économiques et commerciaux, le développement du secteur agricole et de la formation professionnelle

À l’issue de l’audience, un point de presse conjoint a été animé par Mauro Vieira et Olushegun Adjadi Bakari, ministre béninois des Affaires étrangères. Les deux parties ont mis en avant les opportunités de collaboration dans des secteurs clés tels que l’agriculture, la formation technique et professionnelle, le tourisme et la sécurité.

Le ministre brésilien a également transmis à Patrice Talon une invitation officielle pour la Conférence de Belém sur le climat (COP30) prévue en novembre 2025, ainsi que pour la réunion des ministres de l’Agriculture du Brésil et de l’Afrique en mai prochain.

Cette rencontre marque une nouvelle étape dans le partenariat stratégique entre le Bénin et le Brésil, avec des perspectives ambitieuses pour un développement mutuellement bénéfique.

Bénin: après 15 ans d’attente, le procès Pierre Urbain Dangnivo s’ouvre avec de troublantes révélations

Le procès de l’affaire Pierre Urbain Dangnivo a enfin débuté ce mardi 11 mars 2025 au Tribunal de première instance de première classe de Cotonou. Ce procès, très attendu depuis plus de quinze ans, marque une étape cruciale dans une affaire qui a longtemps défrayé la chronique au Bénin.

La disparition de Pierre Urbain Dangnivo, cadre du ministère de l’Économie et des Finances et militant de l’opposition, remonte au 17 août 2010. À l’époque, des accusations graves avaient été portées contre le gouvernement en place, soupçonné d’avoir orchestré sa disparition en raison de révélations sensibles sur des scandales financiers.

Par la suite, un corps identifié en septembre 2010 avait été attribué à Dangnivo, mais malgré l’arrestation de deux suspects Codjo Cossi Alofa et Amoussou Donatien le procès avait été sans cesse repoussé.

Une ouverture sous haute tension

L’audience a débuté à 10h44, en présence d’une forte délégation d’avocats, dont Me Olga Anassidé et Me Théodore Zinflou. La salle d’audience était pleine, avec la famille de la victime en première ligne.

Les accusés Codjo Cossi Alofa et Amoussou Donatien sont entrés dans la salle sous haute surveillance, vêtus de tenues de détenus. Un climat de tension palpable s’est immédiatement installé, les proches de la victime fixant intensément les accusés.

Le président de la cour a rappelé que le procès reprenait des débats déjà entamés par le passé. Il a également souligné que les accusés bénéficieraient de toutes les garanties légales pour assurer leur défense.

Premières déclarations troublantes

Codjo Cossi Alofa, le principal accusé a été le premier à prendre la parole à 12h15. Il a nié toute implication dans la disparition de Dangnivo, affirmant qu’il ne connaissait pas personnellement la victime.

Selon lui, « on » lui aurait promis une somme de 25 millions de FCFA et sa liberté en échange d’un faux aveu de culpabilité. Alofa a précisé qu’il n’avait jamais reçu cet argent et qu’il avait été manipulé par des personnes influentes.

Après une suspension de l’audience à 13h09 pour permettre à la partie civile de formuler des requêtes, le procès a repris avec l’audition d’Amoussou Donatien à 14h40. Ce dernier a révélé avoir été impliqué dans des missions sous les ordres du colonel Koumassegbô, alors chef de la sécurité présidentielle.

Il a admis avoir remis un téléphone à un journaliste en échange d’une somme de 500 000 FCFA, tout en insistant sur le fait qu’il n’était pas impliqué dans la disparition de Dangnivo.

Des révélations explosives

Les débats sont devenus houleux lorsque la partie civile a interrogé Amoussou Donatien sur l’origine des fonds reçus. L’avocat de Donatien a protesté, affirmant que certaines questions étaient hors de propos.

Malgré les tensions, Donatien a maintenu qu’il avait subi des pressions et des mauvais traitements durant sa détention. Il a également évoqué des tentatives de manipulation de la part des autorités.

Le procès a été suspendu à 16h58 après une journée riche en révélations et en tensions. La reprise des audiences a été annoncée pour le mercredi 12 mars 2025, avec l’audition de nouveaux témoins et la présentation de nouveaux éléments de preuve.

Rapport GTI: top 10 des pays africains les plus touchés par le terrorisme en 2024

L’Afrique est devenue le nouveau foyer du terrorisme mondial, avec le Sahel en première ligne, selon le dernier rapport de l’Indice mondial du terrorisme (GTI) 2025 publié par l’Institute for Economics & Peace. Le rapport révèle une recrudescence des attaques terroristes sur le continent, exacerbée par l’instabilité politique, la faiblesse de la gouvernance et la persistance des conflits armés.

Le Sahel est désormais considéré comme « l’épicentre du terrorisme mondial », concentrant plus de la moitié des décès liés au terrorisme dans le monde en 2024. Le nombre de pays confrontés à des attaques terroristes est passé de 58 à 66 en un an, principalement en raison de l’intensification des activités des groupes djihadistes dans cette région. Cinq des dix pays les plus touchés par le terrorisme sont situés au Sahel.

Le Burkina Faso, malgré une baisse de 57 % des attaques et de 21 % des décès en 2024, reste le pays le plus affecté par le terrorisme au niveau mondial, avec un score GTI de 8,581. Le Mali et le Niger, également en proie à une montée en puissance des groupes extrémistes, suivent de près avec des scores respectifs de 7,907 et 7,776. Le Nigeria, confronté aux menaces persistantes de Boko Haram et de l’État islamique en Afrique de l’Ouest (ISWAP), se classe au quatrième rang avec un score de 7,658.

Top 10 des pays africains les plus touchés

Selon le rapport, les dix pays africains les plus touchés par le terrorisme en 2024 sont :

Rang en AfriqueRang mondialPaysScore GTINiveau d’impact
11Burkina Faso8.581Très élevé
24Mali7.907Très élevé
35Niger7.776Très élevé
46Nigeria7.658Très élevé
57Somalie7.614Très élevé
610Cameroun6.944Haut
712RD Congo6.768Haut
817Mozambique6.251Haut
919Kenya5.366Moyen
1023Tchad5.032Moyen

L’État islamique et ses alliés à la manœuvre

Le rapport révèle que l’État islamique (EI) et ses affiliés restent les groupes terroristes les plus meurtriers, responsables de 1 805 décès dans 22 pays en 2024. Les quatre principaux groupes terroristes – l’EI, le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM), le Tehrik-e-Taliban Pakistan (TTP) et al-Shabaab – ont été actifs dans 30 pays et sont responsables d’une augmentation de 11 % du nombre de décès, atteignant 4 204 morts.

La Somalie reste une cible privilégiée d’al-Shabaab, tandis que le Nigeria est régulièrement frappé par Boko Haram et ISWAP. Au Mali et au Niger, la fragilité des institutions étatiques et le retrait des forces internationales ont favorisé la montée en puissance des groupes extrémistes.

Les attaques de « loups solitaires » en hausse en Occident

Le rapport met également en lumière une tendance inquiétante dans les pays occidentaux, où 93 % des attaques meurtrières au cours des cinq dernières années ont été perpétrées par des « loups solitaires », souvent inspirés par des idéologies extrémistes.

Une instabilité sécuritaire persistante

La montée du terrorisme en Afrique souligne les défis persistants auxquels sont confrontés de nombreux gouvernements dans la gestion de la sécurité intérieure. La faiblesse des institutions, l’instabilité politique et l’absence de contrôle territorial créent un environnement favorable à l’expansion des groupes extrémistes.

Le rapport GTI 2025 appelle à une coopération renforcée entre les États africains et la communauté internationale pour freiner cette montée du terrorisme, tout en soulignant la nécessité de renforcer la gouvernance et la stabilité politique dans la région du Sahel.