Kylian Mbappé a saisi vendredi la commission supérieure d’appel de la Fédération française de football dans son bras de fer juridique avec le PSG, concernant les 55 millions d’euros de salaire et primes impayés réclamé par l’international tricolore à son ancien club.
Le différend entre Kylian Mbappé et le Paris Saint-Germain autour de 55 millions d’euros de primes et salaires impayés prend une nouvelle tournure. Malgré deux décisions favorables de la LFP, le PSG persiste à refuser le paiement. L’international français, qui évolue depuis cette saison au Real Madrid, a saisi vendredi la commission supérieure d’appel de la FFF pour transmettre le dossier à l’UEFA.
Une démarche qui, si elle aboutissait, exposerait le PSG à de grosses sanctions: une pénalité de la FFF si les décisions de la LFP sont confirmées, et une éventuelle perte de sa licence UEFA Club, indispensable pour disputer les compétitions européennes, en cas de non-paiement.
L’avocate de Mbappé, Delphine Verheyden, a déclaré une situation qui pourrait bouleverser le football : « Cette affaire dépasse mon client. Si le PSG obtient un gain de cause, cela pourrait inciter les clubs à ne plus payer leurs joueurs, les contraignant à des procédures judiciaires longues et coûteuses. » Affaire à suivre…
Le Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), lancé en 2008 et réservé exclusivement aux joueurs évoluant dans leur championnat national, pourrait disparaître après son édition prévue en 2025. Faute d’engouement et confronté à de multiples défis organisationnels, le tournoi semble de plus en plus fragilisé.
À son lancement, le CHAN offre une plateforme inédite pour les joueurs locaux, leur permettant de représenter leur pays sans passer par l’équipe première souvent dominée par des expatriés. Pourtant, les éliminatoires pour l’édition 2024 illustrent un désintérêt croissant, marqué par de nombreux forfaits, notamment ceux des grandes nations comme l’Algérie, l’Afrique du Sud et l’Égypte. Dans certaines zones de développement, seules quelques rencontres ont été disputées.
La multiplication des compétitions internationales et les coûts élevés qu’elles engendrent pèsent lourdement sur les fédérations nationales, souvent limitées en ressources financières. De plus, de nombreux pays africains ne disposent pas d’infrastructures adéquates pour accueillir une compétition d’une telle envergure.
Un ultime sursaut pour 2024
L’édition 2024, prévue du 1er au 25 février, sera organisée par le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie, une solution collaborative pour pallier les limites logistiques. En attendant, les derniers matchs qualificatifs se déroulent ces jours-ci, avec des rencontres décisives comme Ghana-Nigeria, Côte d’Ivoire-Burkina Faso, ou encore RD Congo-Tchad.
Si le CHAN a permis d’écrire de belles pages, avec des vainqueurs prestigieux comme le Maroc (2018, 2020) ou la RD Congo (2009, 2016), son avenir reste flou. Alors que la FIFA multiplie les compétitions mondiales, le CHAN devra convaincre qu’il peut encore trouver sa place dans un calendrier surchargé.
Reconnu coupable avec cinq autres prévenus d’extorsion et d’escroquerie envers son frère Paul, Mathias Pogba a été condamné jeudi par la justice française à un an de prison ferme. Une condamnation qui n’a laissé de marbre l’ancien milieu de terrain de Manchester United, qui a réagi à cette affaire.
Discret, Paul Pogba a finalement réagi à l’affaire le concernant, où plusieurs personnes dont son frère ainé Mathias ont été condamnées à des peines allant jusqu’à huit ans de prison dans ce dossier d’extorsion et d’escroquerie envers l’international français. Le premier-né des Pogba a lui, écopé d’un an de prison ferme.
Dans un communiqué publié ce vendredi, le champion du monde 2018 a exprimé son soulagement. « Je peux enfin tourner la page sur cette période extrêmement pénible », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il souhaite désormais se concentrer sur son retour au football professionnel.
Une double épreuve pour le joueur français
Outre cette affaire familiale bouleversante, Paul Pogba traverse une période compliquée sur le plan sportif. Suspendu pour dopage après avoir été contrôlé positivement au DHEA lors d’un match avec la Juventus Turin en 2023, il a vu sa sanction de quatre ans réduite, ce qui lui permettra de rejouer en mars 2025.
Son contrat avec la Juventus ayant été résilié, le milieu de terrain de 31 ans est actuellement libre et suscite l’intérêt de plusieurs clubs, dont l’Olympique de Marseille.
Au Burkina Faso, un agent de l’Agence Nationale de la Promotion des Techniques de l’Information et de la Communication (ANPTIC) a été interpellé par la police de l’arrondissement n°5 de Ouagadougou pour le vol de deux caméras de surveillance d’une valeur estimée à huit millions FCFA.
En octobre dernier, l’ANPTIC a déposé une plainte suite au vol de ces équipements. Une enquête a immédiatement été ouverte, menant à l’identification d’un suspect parmi le personnel de l’agence.
Interrogé dans un premier temps, l’agent suspecté a nié toute implication. Cependant, grâce à la ténacité des enquêteurs et à l’appui de la Brigade Centrale de Lutte contre la Cybercriminalité (BCLCC), il a fini par avouer les faits.
Selon les investigations, l’agent a profité de son rôle intérimaire pour subtiliser les caméras. Il les a ensuite mises en vente sur un réseau social en utilisant un faux profil. Les caméras ont été vendues à un premier acheteur pour 300 mille FCFA, un montant bien en deçà de leur valeur réelle. Cet acheteur les a ensuite revendues pour 3.500.000 FCFA.
Les forces de l’ordre ont réussi à récupérer les deux caméras ainsi qu’une partie des sommes issues de leur revente. Les deux individus impliqués dans cette affaire sont désormais placés en garde à vue.
Cette affaire met en lumière l’efficacité de la coopération entre les différentes unités des forces de l’ordre et la BCLCC, démontrant leur détermination à lutter contre les infractions, y compris au sein des institutions publiques.
Entre 60 et 80 personnes ont été blessées, dont plusieurs grièvement, après qu’une voiture a percuté un marché de Noël dans la ville allemande de Magdebourg vendredi, selon un porte-parole des services de secours locaux contacté par l’AFP.
Les circonstances exactes de l’incident restent à éclaircir. Certains médias évoquent des morts et un potentiel attentat, mais ces informations n’ont pas été confirmées par les autorités. Les responsables régionaux ont toutefois indiqué que la piste d’un « attentat » était examinée.
Les services de secours sont intervenus rapidement sur les lieux pour prendre en charge les blessés. Une enquête est en cours pour déterminer les motivations derrière cet acte et établir les faits.
Le marché de Noël, lieu emblématique de convivialité en cette période de fêtes, a été évacué et sécurisé. Les autorités locales appellent à la prudence et demandent à la population d’éviter la zone.
La Direction de la Police des Stupéfiants et des Drogues (DPSD) a infligé un sérieux revers au trafic de drogue dans le département d’Issia, en Côte d’Ivoire. Dans le cadre de l’opération Épervier 10, plusieurs membres d’un vaste réseau de distribution de stupéfiants ont été interpellés.
Suite à un renseignement anonyme, les enquêteurs ont arrêté S.M., un suspect clé dans la fourniture de drogues à Tapéguia. Une perquisition effectuée à son domicile a permis de découvrir plusieurs blocs et boulettes de cannabis.
Cette première arrestation a rapidement conduit à l’identification d’autres membres du réseau. Dans la nuit du 15 au 16 décembre, quatre autres individus ont été appréhendés à Tapéguia. Il s’agit de S.M. (24 ans), D.O.D. (20 ans), D.D. (16 ans), D.I. (33 ans) et D.S. (27 ans).
Les forces de l’ordre ont saisi un total de 16,5 kg de cannabis ainsi que 2500 comprimés de Tramaking (250 mg) au cours de cette opération. Ces saisies illustrent l’ampleur du réseau démantelé et la détermination des autorités ivoiriennes à lutter contre le trafic de stupéfiants.
Ce coup de filet représente une réussite majeure pour la DPSD, qui intensifie ses efforts pour éradiquer le trafic de drogue à l’échelle nationale. Les suspects appréhendés seront prochainement présentés au parquet pour répondre de leurs actes.
Dans un extrait inédit de son interview accordée à Clique X, une émission sur Canal+, Kylian Mbappé s’est confié sur sa foi et son impact sur sa vision de la vie.
Lechampion du monde 2022 a affirmé croire en Dieu et en un plan divin pour chacun, considérant ses propres succès comme des « cadeaux de Dieu ».
«Je pense que tout ce qui arrive, il n’y a aucun hasard dans tout ce qui arrive. Je crois en Dieu. Dieu a un plan pour tout le monde, j’essaie de rendre tout ce qu’on m’a donné parce que j’ai toujours cru que j’étais un privilégié et que tout ce qui m’arrivait était un cadeau de Dieu. J’ai la chance d’être bien entouré, d’avoir eu un don à la naissance et j’essaie d’en faire quelque chose mais pas que pour moi. J’essaie de faire profiter le maximum de gens», a tout d’abord assuré l’ancien parisien.
Mbappé a aussi souligné l’importance de rendre ce qu’il a reçu, non seulement par gratitude envers Dieu, mais aussi envers les personnes qui l’ont aidé tout au long de son parcours. Il a insisté sur le rôle crucial des rencontres et du soutien qu’il a reçu, affirmant avoir été « aidé, propulsé et protégé au bon moment ».
Désormais de l’autre côté de la barrière, Mbappé se sent investi d’une mission : aider les jeunes talents à réaliser leurs rêves. Il souhaite « ouvrir la barrière » pour ceux qui aspirent à réussir, en partageant ses opportunités et en facilitant leur accès au succès. « J’ouvre tout pour les autres, il n’y a aucun problème avec ça », a-t-il conclu.
Deux locataires et leur propriétaire ont été condamné par le Tribunal de commerce de Cotonou dans une affaire de litige locatif.
Deux locataires, dont une dame, ont engagé une procédure judiciaire contre leur propriétaire devant le tribunal de commerce de Cotonou. Cependant, la cour n’a pas uniquement condamné la défenderesse. Elle a également astreint les locataires à payer des frais à la propriétaire. Parallèlement, les juges ont annulé une reconnaissance de dette signée au commissariat du 12ᵉ arrondissement de Cotonou.
Les faits de l’affaire
Le litige porte sur la location de deux appartements situés à Fiyégnon-Houta-Godomey, un quartier d’Abomey-Calavi. Les locataires affirment avoir signé un contrat de bail le 26 septembre 2022, avec un loyer mensuel de 600 000 FCFA par appartement, soit un total de 1 200 000 FCFA. Selon eux, ils auraient versé à leur propriétaire la somme de 9 800 000 FCFA, couvrant les loyers jusqu’en avril 2023. Cependant, en mars 2023, ils auraient reçu un préavis de libération des lieux, qu’ils jugent « irrégulier ».
Les plaignants accusent la propriétaire d’avoir changé les serrures des appartements, les privant d’accès à leurs biens de juillet à octobre 2023. Ils déclarent que leurs effets personnels n’ont été récupérés qu’après intervention, et estiment qu’un trop-perçu de 200 000 FCFA leur est dû.
Ils allèguent également que l’un des locataires, une dame, aurait été contrainte sous pression policière de signer une reconnaissance de dette de 7 200 000 FCFA, qu’ils considèrent sans fondement, affirmant qu’aucune dette n’était en suspens.
Les revendications des locataires
Dans leur recours, les locataires ont formulé six demandes principales à savoir: rejeter toute nullité de l’acte introductif d’instance; condamner la propriétaire à payer 8 000 000 FCFA de dommages-intérêts; restituer les 200 000 FCFA correspondant au trop-perçu; annuler ou juger sans objet la reconnaissance de dette de 7 200 000 FCFA; rejeter les demandes de remise en état des lieux; refuser la condamnation au paiement des 7 200 000 FCFA réclamés par la défenderesse.
La position de la propriétaire
La propriétaire a contesté ces affirmations, soutenant que les locataires ne respectaient pas leurs obligations financières. Elle a affirmé avoir découvert fin octobre 2023 que l’un des locataires déménageait des biens de manière clandestine, tout en étant en défaut de paiement.
Elle a réfuté l’accusation de contrainte dans la signature de la reconnaissance de dette, affirmant que le montant reflète les loyers impayés. Elle a également réclamé 8 400 000 FCFA pour des arriérés de loyers, couvrant la période de mars à octobre 2023, ainsi que 364 200 FCFA pour les frais de remise en état des lieux. Enfin, elle a demandé l’exécution provisoire sur minute pour la moitié des condamnations pécuniaires.
La décision du tribunal
Après examen du dossier, le tribunal a conclu que les locataires étaient effectivement en défaut de paiement. Lors de l’audience publique du 7 novembre 2024, ils ont été condamnés à verser: 4 600 000 FCFA pour les arriérés de loyers et 2 000 000 FCFA pour les frais de remise en état des lieux. L’exécution provisoire a été rejetée, et les locataires ont été condamnés aux dépens.
Cependant, la cour a également condamné la propriétaire à payer 2 000 000 FCFA aux locataires en dommages-intérêts pour trouble de jouissance. Par ailleurs, la reconnaissance de dette de 7 200 000 FCFA signée par l’un des locataires a été annulée par le tribunal.
Lors de son discours sur l’état de la Nation, le vendredi 20 décembre 2024, le président Patrice Talon a réitéré son ambition de construire 30 lycées techniques agricoles et 8 écoles de métier au Bénin.
Malgré les doutes exprimés par certains face à l’absence de travaux visibles, le chef de l’État a tenu à rassurer sur l’avancement du projet. Selon lui, les études techniques ont pris plus de temps que prévues simplement parce que le gouvernement veut désormais faire les choses avec finesses et rigueur.
En effet dans son message, Patrice Talon a expliqué que le retard observé dans le lancement des constructions est attribuable à la complexité des études techniques.
« Les études techniques ont pris plus de temps que prévu en raison des standards que nous exigeons désormais au Bénin », a-t-il déclaré.
Ces études, désormais finalisées, ouvrent la voie à la phase opérationnelle. Le président a assuré que les travaux de construction et d’équipement débuteront dans les tous prochains mois, les financements nécessaires, évalués à plus de 440 milliards de francs CFA, étant déjà disponibles.
Un projet pour répondre aux besoins du marché
Le programme des lycées et écoles vise à permettre aux apprenants d’acquérir des compétences adaptées aux exigences du marché du travail. « Ces programmes permettront à tous les apprenants, quels que soient leurs profils, de développer des compétences en temps réel selon leurs besoins et ceux du marché », a souligné le président.
Les 8 écoles de métier offriront des formations dans des domaines variés et stratégiques pour le développement économique et social du pays, notamment :
Énergie
Numérique
Bâtiments et travaux publics
Menuiserie, bois et aluminium
Eau et assainissement
Maintenance des véhicules et équipements industriels
Tourisme, hôtellerie et restauration
Mode et textile
En s’engageant dans ce projet ambitieux, Patrice Talon souhaite positionner le Bénin comme un modèle en matière de formation technique et professionnelle en Afrique de l’Ouest. Ces infrastructures promettent de transformer le paysage éducatif et de renforcer les capacités des jeunes béninois à intégrer un marché du travail de plus en plus exigeant.
Dans sa démarche de révolutionner l’écosystème de paiement au Bénin, Celtiis a lancé la super App Waa et le paiement marchand lite Tac’tac le jeudi 19 décembre 2024. Cette innovation de la SBIN SA transforme la plateforme Celtiis Cash en une plateforme digitale globale.
Open The door : c’est à travers ce slogan que Celtiis Bénin ouvre une nouvelle porte et invite les Béninois à entrer dans l’avenir des paiements électroniques avec la super App Waa et Tac’tac.
En effet, Waa est une plateforme disruptive bâtie sur une technologie ouverte et inclusive qui offre un espace de création inédit, une architecture accessible à tous les développeurs (débutants ou experts), pour concevoir et lancer des applications rapidement.
« C’est une application capable de fédérer plusieurs autres applications, de fédérer l’ensemble des possibilités pour les commerçants, pour les jeunes développeurs, pour les clients, et pour tout type d’entreprise capable de mettre en face de ses clients ses produits et services. C’est une application qui permet à tous les commerçants, quelle que soit la nature du produit qu’ils commercialisent, de pouvoir le mettre à la disposition de ses clients à travers la super app Waa », a expliqué Omar Guèye Ndiaye, Directeur Général de la SBIN SA et CEO de Celtiis Bénin.
« Nous voulons à travers cette application que tout Béninois, quel que soit son besoin, quel que soit le service, pense à Waa », a-t-il insisté. La super App Waa est également un tremplin pour les talents locaux, une belle expérience, des services innovants et adaptés, une plateforme tout-en-un : e-commerce, scolarité, transport, éducation, restauration, jeux, musique, streaming et bien plus.
L’éducation est également accessible sur Waa avec des modules pédagogiques interactifs sur des thématiques comme le Baccalauréat, la microfinance et l’entrepreneuriat féminin avec des facilités de paiements.
Selon le Directeur Général de la SBIN SA et CEO de Celtiis Bénin, cette plateforme digitale n’est pas seulement une application, c’est une révolution qui simplifie la vie et ouvre de nouvelles portes pour les Béninois et pour toute l’Afrique de l’Ouest.
La super App Waa et les partenaires et utilisateurs
La super App Waa renforce la visibilité et l’accès simplifié au numérique pour tous les commerçants et secteurs marchands (informels, entreprises, écoles).
Pour les utilisateurs finaux, cette seule plateforme répond à tous les besoins quotidiens, donne un accès rapide et sécurisé, même dans les zones rurales pour gérer ses transactions, payer ses factures et interagir avec des services publics.
À travers la super App Waa, Celtiis participe à la modernisation des services publics, des entreprises locales et à l’inclusion numérique des citoyens.
Le paiement marchand lite Tac’ Tac
La seconde innovation de Celtiis Bénin en cette fin d’année est le paiement marchand lite Tac’ Tac. C’est un moyen de paiement rapide par QR Code qui permet aux vendeurs ambulants, aux vendeurs des bords de voie, aux tabliers, aux petits maquis, aux Zémidjans, aux vendeurs de marché d’encaisser rapidement les paiements de leurs clients de manière automatique et sécurisée.
Ce business est sans frais pour le marchand car il n’est requis aucune pièce administrative aux marchands pour utiliser le paiement lite QR Code Tac’Tac et il ne supporte aucun frais. C’est le client qui supporte les frais pour 1%. Avec cette révolution sécurisée bout en bout, seul le marchand peut annuler lui-même une transaction pour éviter des pertes de revenus.
Mais Celtiis n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. Comme Perspectives pour 2025, Celtiis Bénin ambitionne d’intégrer tous les services de l’État dans Waa. Et pour y parvenir, les discussions se poursuivent toujours avec les acteurs concernés.