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Niger: les putschistes refusent l’entrée à  la mission de médiation CEDEAO-ONU-UA

Alors que lundi, dans une interview sur TV5 MONDE, le premier ministre Ouhmoudou Mahamadou a dit que les putschistes ont demandé à la délégation de la CEDEAO de « revenir » à Niamey, l’on apprend ce mardi, que la junte a refusé de recevoir une délégation conjointe composée de la Cedeao, des Nations unies et de l’Union africaine.

DIPLOMATIE
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Général Omar Tchiani en poste à la présidence depuis plus de 10 ans
Général Omar Tchiani en poste à la présidence du Niger depuis plus de 10 ans
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La situation politique au Niger connaît un nouvel épisode tendu alors que la junte militaire au pouvoir a refusé l’entrée dans le pays à la délégation conjointe composée de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), des Nations unies et de l’Union africaine. Prévue pour arriver à Niamey le 8 août, cette mission de médiation visait à faciliter un dialogue constructif pour résoudre la crise politique en cours après le coup d’État militaire du mois dernier.

Une note verbale du ministère nigérien des Affaires étrangères, citée par Jeune Afrique et adressée à la représentation de la Cedeao à Niamey le 7 août, a annoncé ce refus d’entrée et a évoqué plusieurs motifs pour justifier cette décision. Les raisons invoquées, bien qu’officielles, reflètent les tensions croissantes et les enjeux complexes qui entourent la crise actuelle.

Les observateurs internationaux s’inquiètent de ce blocage diplomatique qui risque de retarder davantage les efforts visant à rétablir l’ordre constitutionnel et la stabilité au Niger. La délégation conjointe avait pour objectif de faciliter un dialogue inclusif entre les parties prenantes, en vue de trouver une solution pacifique et consensuelle à la crise politique qui sévit depuis le coup d’État du mois de juillet.

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