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Décès de Abdelaziz Bouteflika: Paul Biya attristé par la mort d’« un grand panafricaniste »

Le président camerounais, Paul Biya, a rendu hommage à l’ancien chef d’Etat algérien, Abdelaziz Bouteflika, décédé le 17 septembre dernier à l’âge de 84 ans. Le dirigeant camerounais a salué la mémoire d’un « grand panafricaniste.

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Considéré comme l’un des vieux dirigeants africains au pouvoir, Paul Biya a aussi sacrifié au ballet d’hommage des chefs d’Etat sur le continent, à l’ancien président algérien, Abdelaziz Bouteflika, décédé vendredi 17 septembre à l’âge de 84 ans. Dans un message de condoléances transmis à son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune, le président camerounais a salué la mémoire d’un grand panafricaniste.

Dans une lettre apparemment écrite dans sa tour dorée du palais d’Etoudi, le chef d’Etat, au pouvoir depuis 1982, déclare avoir appris « la triste nouvelle du décès de Monsieur Abdelaziz Boutéflika, ancien chef de l’État, survenu à Alger ». « Je salue la mémoire de l’ancien président de l’Algérie et du grand panafricaniste qu’il fut », a écrit Paul Biya dans sa lettre.

Pour le président de la République du Cameroun, l’ancien président algérien, AbdelAziz Boutéflika « aura marqué de sa forte empreinte diplomatique et politique, dès les indépendances, son pays, l’Afrique et le Tiers-monde ». Paul Biya adresse ses condoléances et celles de la nation camerounaise à la famille de Abdelaziz Bouteflika, au gouvernement et à la nation algérienne.

La lettre de condoléances du président Paul Biya

Chassé du pouvoir en 2019

Chassé du pouvoir en 2019 après vingt ans à la tête de l’Algérie, Abdelaziz Bouteflika s’est éteint vendredi, à l’âge de 84 ans, dans sa résidence médicalisée de Zéralda, à l’ouest d’Alger, où il vivait reclus depuis deux ans et demi. L’ex-président algérien a été inhumé dimanche, au carré des martyrs du cimetière d’El Alia à Alger, réservé aux héros de la guerre d’indépendance, mais il a eu droit à bien moins d’honneurs que ses prédécesseurs.

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