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Calme précaire à  Khartoum : les parties en conflit respectent le cessez-le-feu

Selon les dernières informations obtenues par BENIN WEB TV, les deux factions impliquées dans le conflit à Khartoum, la capitale soudanaise, semblent respecter le cessez-le-feu négocié par les États-Unis. Cependant, la situation demeure instable, suscitant des inquiétudes chez les observateurs.

DIPLOMATIE
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Soudan: violents combats entre armée régulière et FSR
Soudan: violents combats entre armée régulière et FSR
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Depuis plusieurs semaines, des combats ont éclaté dans la ville de Khartoum, opposant les forces armées gouvernementales et les paramilitaires des Forces de soutien rapideles. Les affrontements ont fait de nombreuses victimes et causé d’importants dégâts matériels dans la ville.

Face à cette situation, les États-Unis ont appelé à un cessez-le-feu immédiat et ont entamé des discussions avec les différentes parties impliquées. Selon nos sources, les deux camps semblent avoir entendu cet appel et ont convenu d’une trêve.

Néanmoins, la situation demeure tendue et préoccupante. Les observateurs notent que les deux camps continuent de se méfier mutuellement et que le moindre incident pourrait relancer les hostilités. De plus, la population civile reste vulnérable et continue de subir les conséquences du conflit.

Evacuation massive des étrangers

Plusiuers pays comme la France, l’Allemagne, l’Italie, la Côte d’Ivoire, le Maroc, l’Algérie, l’Egypte et bien d’autres, ont entamé l’évacuation de leurs ressortissants.

L’annonce d’un cessez-le-feu est une bonne nouvelle, la situation à Khartoum reste fragile et instable. Les combats ont déjà fait plus de 420 morts et 3 700 blessés, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). L’ONU a réitéréer mardi, son engagement à aider le Soudan à résoudre ce conflit meutrier par la voie pacifique. Elle ne compte pas quitter le pays, malgré les violences.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est inquiétée de risques biologiques « très élevés » après l’occupation « par des belligérants » d’un « laboratoire public de santé » de la capitale, où l’on pouvait trouver des agents pathogènes de la rougeole, du choléra et de la poliomyélite.

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