Ce mardi 21 janvier 2025 marque l’ouverture du très attendu procès d’Olivier Boko et d’Oswald Homéky devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Les deux personnalités, autrefois proches du président Patrice Talon, sont accusées de tentative de coup d’État contre le gouvernement de la Rupture.
Selon l’acte d’accusation, Olivier Boko et Oswald Homéky auraient préparé un plan visant à renverser le président Talon. Cette affaire rappelle les procès emblématiques de Joël Aïvo et Réckyath Madougou, qui avaient suscité de vives polémiques dans l’opinion publique. Aujourd’hui, le peuple béninois attend avec impatience de savoir si le sort des accusés suivra une trajectoire similaire.
Un plaidoyer de non-culpabilité
Dès les premières heures du procès, les regards se sont tournés vers Olivier Boko, homme d’affaires influent et ancien conseiller de Patrice Talon. Comme Oswald Homéky, il a fermement rejeté les accusations portées contre lui et plaidé non coupable.
L’affaire est suivie de près par les observateurs nationaux et internationaux, compte tenu des enjeux politiques et des personnalités impliquées.