La danseuse nigériane, Korra Obidi, dit qu’elle pourrait ne plus jamais se marier.
Dans une vidéo désormais virale, l’artiste a admis que le mariage n’est pas une institution facile tout en suppliant les prétendants de ne pas envisager de l’épouser. Obidi a déclaré qu’en dépit d’avoir donné à Justin Dean, son ex-mari, différents styles au lit, il l’avait quand même quittée.
« Je ne sais pas si je pourrais me remarier, je ne sais pas si c’est quelque chose que je pourrais refaire de ma vie. Parce que cette institution, j’ai vraiment essayé, a-t-elle déclaré. Je leur ai tout donné, je leur ai donné, je leur ai donné toute ma poitrine. Dans l’institution, je cuisinais et me plaçais dans différentes positions s&xuelles. Ce n’est pas facile dans cette institution ».
« S’il vous plaît, n’essayez pas de m’épouser, j’aime mon espace car je suis devenu célibataire comme ça. Avant, je devais calmer ma folie, mais maintenant personne ne me dira rien, personne ne m’empêchera d’être moi-même. Je ne pense pas que je me remarierai un jour », a ajouté l’actrice, désormais concentrée sur sa nouvelle vie de célibataire.
En mars, Korra et Dean ont annoncé leur séparation. L’Américain avait accusé l’artiste d’infidélité, de narcissisme et de responsabilité. Korra, cependant, a affirmé que le problème dans leur mariage avait commencé lorsque Dean avait commencé à se sentir en droit de toucher l’argent qu’elle gagnait sur ses pages de médias sociaux. La semaine dernière, la danseuse a juré qu’elle n’afficherait pas sa future relation sur les réseaux sociaux.
« Si j’ai un autre bae, je ne le mettrai jamais et jamais en ligne. Vous allez le détruire comme vous avez détruit mon premier mariage », avait-elle dit. « Je te le cacherai, bouche de chèvre jalouse. Je me souviens de ces moments où quelqu’un allait lui envoyer un e-mail et lui dire de regarder ce que fait votre femme tous les jours ».
Elle donné toutes les positions, a-t-elle aussi donné l’attention, la soumission et le respect dans son foyer ?
Merci cher Alassani. Elle dit avoir tout donné comme si son « tout » est ce qui honore un homme