La suite après la publicité
La suite après la publicité

« Intifada des feuilles mortes »: l’histoire d’un prêtre éclaboussé par une affaire de meurtre d’homosexuel à  Igolo

Le 15 août 2021, une nouvelle œuvre de Stephens Akplogan sera officiellement présentée au public. Intitulé « Intifada des feuilles mortes », il s’agit d’un roman qui raconte l’histoire d’un prêtre à Igolo au Bénin.

CULTURE
606 vues
benin web tv | Image d'illustration
Image d'illustration
2 min de lecture
Google News Commenter
La suite après la publicité
Vous utilisez actuellement la version classiqueVous êtes actuellement sur la version classique du site. Rejoignez notre version 2.0 pour plus de fun, plus de rapidité et plus d'interaction.Rejoindre Maintenant

« Intifada des feuilles mortes », c’est le titre de la nouvelle sortie de l’écrivain béninois, Stephens Akplogan. Il parle dans ce livre d’un prêtre qui s’est retrouvé dans une histoire rocambolesque et accablante dans l’exercice de sa mission de guide religieux. Les faits racontés par l’auteur se sont déroulés dans le village Igolo, une localité d’Ifangni, à plus de 66 km de Cotonou.

« Intifada » met en scène la révolte des marginaux. Les marginaux sont ces anonymes écrasés au quotidien par le poids de la politique et la misère. Ils ont compris qu’il fallait sortir des complaintes et assumer leur destinée.

Nommé abbé Job, le prêtre désormais entaché de renom, se retrouve dans la plus haute prison de sécurité du pays, située à Missérété. Dans ce lieu de difficulté pour le commun des mortels, l’abbé Job s’érige en aumônier et donne une autre tournure à son histoire. Privé de liberté dans une cellule de l’établissement pénitentiaire, il apprendra à exorciser ses propres faiblesses et à raffermir l’humanité de ses codétenus

Le séjour de l’abbé à Missérété a été le début d’une révolution improbable pour « faire capituler le pouvoir tyrannique ». Une révolution qui finira dans les rues de Cotonou, conduite par Job, le pédé, Doris, l’arracheuse de testicules, et Cindy, la Biafraise.

À NE PAS MANQUER

Commentaires

Vous utilisez actuellement la version classiqueRejoindre Maintenant