La Chine a affirmé, jeudi 11 septembre, qu’elle «s’oppose fermement» à toute coercition, après l’annonce du gouvernement mexicain d’envisager de porter à 50 % ses droits de douane sur les voitures chinoises, mesure présentée comme exercée sous la pression des États-Unis. «Nous nous opposons fermement à toute restriction contre la Chine, sous quelque prétexte que ce soit, imposée par autrui par la coercition et qui porte atteinte aux droits et intérêts légitimes chinois», a déclaré Lin Jian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, lors d’un point presse régulier, selon l’AFP.