Pour des raisons, qui lui sont propres, un milliardaire nigérian a renié ses 7 enfants, leur interdisant de mettre les pieds dans ces demeures, de son vivant ou après sa mort. La décision surprenante de ce père fortuné, chief Rufus Abadi Osiri, a créé le choc au sein de l’opinion publique.
C’est l’une des informations folles de ces derniers jours, qui continue de créer la stupéfaction, sur les réseaux sociaux, notamment. Au Nigéria, un milliardaire populaire, chief Rufus Abadi Osiri, pour des raisons que l’opinion publique ignore, a pris la surprenante résolution de déshériter ses propres enfants, au nombre de sept, allant, jusqu’à leur interdire l’accès à ses demeures, qu’il soit vivant ou mort.
L’intrigant testament de ce père fortuné a été divulgué, sur Facebook, par le célèbre conseiller nigérian, Joe Igbokwe, le jeudi 7 avril 2022, sous forme de lettre ouverte.
Les premières lignes du fameux testament sont libellées, comme suit : « Moi, chef Rufus Abadi Osiri, après que mon attention a été attirée sur les activités subversives, prédatrices et malsaines de mes enfants, dont les noms sont énumérés ci-dessus, pour disposer de ma propriété, à Yenagoa, Port Harcourt, Lagos, Abuja, etc., tous au Nigéria. »
La suite du texte dit ceci : « Je les ai éduqués, du cours primaire au niveau universitaire, et je suis allé plus loin, en créant un environnement propice, pour qu’ils aient un bon départ dans la vie, en leur fournissant, chacun, un logement et une voiture. Ils sont dans la tranche d’âge de 27-40 ans, sont des adultes, capables de se débrouiller seuls, après avoir créé l’environnement propice, qui est un tremplin, pour qu’ils commencent la vie sur de bonnes bases. Que la démarche qu’ils ont entreprise est répréhensible. Afin d’éviter de nouvelles incursions de mes enfants et de sécuriser la propriété, j’ai demandé à mon avocat d’écrire un testament, pour les exclure de l’héritage de mes propriétés. »
Le milliardaire conclut sa lettre ouverte, en ces termes : « Par conséquent, je leur interdis par la présente d’accéder, d’utiliser ou de se rapprocher de l’une de mes propriétés. Cette publication témoigne par la présente de ma déclaration. Toute tentative de faire, autrement, sera considérée comme une intrusion criminelle et entraînera de graves conséquences. Vous avez été prévenus. Signé : Chef Rufus Abadi Osiri. »
Depuis la diffusion de ce document polémique, les commentaires vont dans tous les sens. D’aucuns attirent l’attention des autorités publiques nigérianes, sur cette affaire familiale, considérant que la décision de ce riche parent relève d’une dérive inexplicable.