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« La politique politicienne, je veux bien, mais parlons de développement », Nicéphore Soglo

Létondji Béhéton, le directeur général de la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) était dans l’après-midi du mardi 10 septembre au domicile de l’ancien président Nicéphore Soglo. L’objectif est de le remercier pour sa récente visite pour voir ce qui se fait à Glo-Djigbé. Profitant de l’occasion, le patriarche a clarifié ce qui l’a poussé à faire le déplacement de la GDIZ.

POLITIQUE
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Nicéphore Soglo Ph Présidence du Bénin
Nicéphore Soglo Ph Présidence du Bénin
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Justifiant sa présence à la GDIZ, Nicéphore Soglo a fait savoir que dans la foulée de l’affaire Steve Amoussou, il a été interpellé par des amis depuis l’extérieur qui ont voulu savoir si son pays, il ne se passe que de mauvaises choses. En guise de réponse, précise-t-il, il a décidé d’aller faire une visite à la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ) afin de leur envoyer les photos pour leur prouver qu’il y a aussi de bonnes choses qui se font au Bénin.

L’ancien chef d’Etat a ensuite déploré l’interprétation qui a été faite de sa visite à la GDIZ. Des personnes ont affirmé qu’il a reçu de l’argent pour effectuer cette visite. « Moi, j’ai besoin encore de quelque chose à mon âge ? Non, maintenant, soyons sérieux« , a déploré Nicéphore Soglo.

La politique politicienne, je veux bien, mais parlons de développement

Le premier président de l’ère du renouveau démocratique au Bénin n’a pas hésité à donner son appréciation de ce qu’il est allé voir à Glo-Djigbé.  » Ce que nous voyons à Glo Djigbé, c’est la dignité du peuple noir. Ce que nous voyons au Nigeria avec Dangoté, c’est la dignité du peuple noir », a affirmé Nicéphore Soglo.

Selon lui, au delà des querelles politiques, il est impérieux de parler développement; de parler de comment on fait pour transformer ce que nous produisons afin d’avoir une valeur ajoutée pour notre économie.

Pour l’ancien chef d’Etat, même si ton ennemi fait bien, il faut avoir la grandeur d’esprit pour reconnaître qu’il fait bien. C’est pourquoi il a tenu à remercier le directeur général de la GDIZ non seulement pour sa visite mais surtout pour ce qu’il fait de bien dans cette zone industrielle.

« Je suis fier du travail qu’il fait. Je crois que les histoires de chiens écrasés dont on parle, il faut laisser ça de côté pour parler développement. La politique politicienne, je veux bien, mais parlons de développement : comment on transforme la vie de nos concitoyens, dans quels domaines« , a laissé entendre l’ancien chef d’Etat.

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