Le 23 mai, Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Russie, a exprimé des réserves concernant la possibilité d’organiser une seconde rencontre russo-ukrainienne au Vatican. Cette proposition, soutenue par le pape Léon XIV, ainsi que par les États-Unis et l’Italie, a suscité l’interrogation de Lavrov qui a déclaré que ce serait « peu élégant » pour des pays orthodoxes de discuter de questions liées aux causes profondes du conflit ukrainien sur un territoire catholique. Il a également souligné que le Vatican pourrait ne pas se sentir à l’aise dans un tel rôle. Ces commentaires ont été rapportés par l’Agence France-Presse (AFP).