« (…) c’est pourquoi, de nombreuses personnes pauvres ont du mal à trouver une femme », selon un pasteur ghanéen

Selon un pasteur ghanéen, tout homme, qui envisage de se marier, devrait être capable de subvenir, surtout, aux besoins financiers de sa future femme. Cette déclaration de l’homme de Dieu a créé la polémique, notamment, sur les réseaux sociaux.

Les réseaux sociaux sont en ébullition, depuis la diffusion de la déclaration d’un pasteur ghanéen, identifié, comme Nanasei Opoku-Sarkodie, fondateur de Nanasei Opoku-Sarkodie Ministries, qui prétend que « le mariage n’est pas pour les hommes pauvres ». L’homme de Dieu affirme que l’union d’un homme et d’une femme, en dehors de la forme, s’accompagne de plusieurs responsabilités, qui demandent beaucoup d’efforts financiers, entre autres.

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« Un homme pauvre ne peut jamais rendre une femme, plus heureuse »

D’après le prédicateur, dans un couple, la femme est celle qui aime, le plus, l’argent. Au détour d’une séance d’enseignement, Opoku Sarkodie a laissé entendre qu’en dehors de l’amour qu’une femme peut éprouver, pour un homme, l’argent la rendra, plus séduisante et plus attirante.

À en croire le pasteur, « un homme pauvre ne peut jamais rendre une femme, plus heureuse ; c’est pourquoi, de nombreuses personnes pauvres ont du mal à trouver une femme ».

D’aucuns disent, après la sortie d’Opoku Sarkodie, qu’à chaque pasteur, son « enseignement ». Qu’il vous souvienne que, récemment, un autre pasteur ghanéen, le très controversé prédicateur, Nicholas Osei, plus connu sous le pseudonyme de Prophet Kumchacha, a fait de troublantes révélations, sur les causes présumées de la fermeture des yeux, souvent, recommandée aux fidèles par les pasteurs.

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Lors d’une récente sortie, à l’antenne de la radio locale, Kingdom FM, avec Fiifi Pratt, le sulfureux pasteur, Prophet Kumchacha, a déclaré que « les pasteurs recommandent, subtilement, à l’assemblée de fermer les yeux, tout en laissant les leurs, grandement, ouverts. Et c’est en ce moment précis, précise-t-il, qu’ils allument leurs radars, afin de repérer les belles dames de l’église, et choisir celles qui leur plaisent. »