Afrique du Sud : cet homme est condamné à 300 ans de prison, les raisons …

Un Sud-Africain de 24 ans, du nom de Sbongiseni Njabulo Ngwenya, est condamné à 300 ans de prison par la justice de son pays. Le jeune homme est reconnu coupable de plusieurs chefs d’accusation, dont des viols et des violations de domicile.

Fin de parcours pour un jeune violeur en série, âgé de 24 ans et d’origine sud-africaine. Après avoir réussi par passer entre les mailles du filet, depuis plusieurs mois, ce délinquant sexuel a fini par commettre des erreurs, qui l’ont conduit dans le piège de la police sud-africaine, en septembre 2018, apprend-on des médias locaux.

Le verdict

Le jeudi 26 mai 2022, en effet, Njabulo Ngwenya, 24 ans, a comparu devant la Haute Cour du nord-ouest de l’Afrique du Sud. Au terme du verdict, le jeune homme a écopé de cinq peines de prison à vie pour viol, et à 300 ans de prison pour d’autres infractions, notamment, pour violation de domicile et vol avec circonstances aggravantes.

Les sources d’information, proches du dossier, précisent que le criminel sexuel a été reconnu coupable de 39 chefs d’accusation, dont 16 de viol, 9 de vol à main armée, 13 de violation de domicile, et une de tentative de meurtre.

Malgré cette lourde peine, la cour a ordonné que le nom de Sbongiseni Njabulo Ngwenya soit inscrit dans le registre des délinquants sexuels, après avoir interdit le port d’armes au coupable.

Les faits

De sources policières, il est établi que Njabulo Ngwenya s’introduisait, nuitamment, chez ses victimes, et, sous la menace d’une arme à feu, les violait, avant de disparaitre dans la nature. Les sources relatent que trois des victimes du prédateur sexuel étaient des mineures, âgées de 12, 14 et 16 ans.

Concernant la tentative de meurtre, pour lequel le vingtenaire est, également, reconnu coupable, il s’était agi de deux jeunes filles que Ngwenya avait abordées, alors que ces dernières rentraient chez elles, informent les mêmes sources. Pour avoir le champ libre, le violeur a tiré une balle dans la jambe du frère de ses victimes, une fois que ce dernier est sorti, avant de traîner les deux filles dans un buisson. Là, il a abusé d’elles, sexuellement.