Le directeur technique de Dortmund, Sebastian Kehl, se réjouit de pouvoir compter sur son buteur ivoirien, Sébastien Haller, pour le choc contre Chelsea, alors que le BVB affronte les Blues ce mercredi en 8ᵉ de finale aller de la Ligue des champions.
La Ligue des champions est à l’honneur cette semaine avec les rencontres aller des huitièmes de finale. A Iduna Park, le Borussia Dortmund reçoit Chelsea, mercredi. Habitués de ces phases à élimination directe, les BVB rêvent d’atteindre la finale comme lors de l’édition 2013, perdue face au Bayern Munich. Un grand objectif pour le club de la Rurh qui va devoir se surpasser pour se frayer son chemin dans ce marigot infesté de gros caïmans.
Mais la formation allemande peut compteur sur son buteur Sébastien Haller. De retour sur le terrain après plusieurs mois à l’infirmerie où il suivait un traitement contre le cancer des testicules, l’attaquant ivoirien va disputer sa première C1 avec Dortmund. Une nouvelle qui réjouit déjà le directeur technique des BVB, Sebastian Keh.
Pour le dirigeant allemand, avoir l’ancienne star de l’Ajax en forme était la pièce manquante de leur puzzle. « C’est une pièce du puzzle que nous avons malheureusement dû manquer pendant longtemps. Un Haller en forme enrichit notre équipe. Non seulement avec ses qualités de footballeur, mais aussi en tant que personnalité. Nous l’attendions avec impatience et il y travaille depuis longtemps. », a déclaré Kehl via les canaux officiels du club.
« Si vous le voyez sur le terrain maintenant, nous serons tous heureux. Et la Ligue des champions est son terrain. Je me souviens encore bien des matchs contre l’Ajax. Puis il nous a fait beaucoup de mal. J’espère qu’il le fera pour nous mercredi maintenant. Mais je veux surtout qu’il reste en bonne santé à long terme. », a-t-il ajouté à propos de Haller.
Sébastien Haller devrait entamer la rencontre alors que son principal concurrent à son poste, le Français Youssoufa Moukoko, s’est blessé contre le Werder Brême le week-end dernier et sera absent pendant environ six semaines.