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Gabon : Frédéric Bongo, frère du président déchu, conteste sa radiation de l’armée

Le lieutenant-colonel Frédéric Bongo, ancien directeur général des Services spéciaux au Gabon et demi-frère du président déchu, se trouve au cœur d’une controverse après avoir été radié de l’armée par décret du président de la transition. Il nie catégoriquement les allégations de coup d’État et envisage de contester cette décision en justice.

POLITIQUE
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Frédéric-Bongo
Frédéric-Bongo @ MondeAfrique
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Au Gabon, la radiation du lieutenant-colonel Frédéric Bongo de l’armée, prononcée par le président de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, a suscité des réactions et des interrogations. Frédéric Bongo, qui a précédemment occupé le poste de directeur général des Services spéciaux, les services de renseignements de la présidence gabonaise, conteste les accusations selon lesquelles il aurait été impliqué dans un projet de coup d’État.

Une atteinte à l’honneur

Le fils d’Omar Bongo, Frédéric Bongo, se dit injustement traité en raison de son nom de famille. Son avocat, maître Charles Consigny, souligne que les termes utilisés dans le décret de radiation touchent son honneur, sa probité et son sens du devoir. Ayant servi pendant vingt-cinq ans au sein de l’armée gabonaise, Frédéric Bongo considère cet épisode comme une atteinte à son honneur et à sa carrière militaire, ce qui le pousse à envisager des actions en justice pour rétablir sa réputation.

La radiation de Frédéric Bongo a été largement diffusée via les réseaux sociaux, et les motifs évoqués sont sévères, mentionnant des « fautes contre l’honneur, la probité et les devoirs généraux », des « fautes contre la discipline militaire », ainsi que des « manquements aux règles d’exécution de services ». Toutefois, Frédéric Bongo réfute toutes ces accusations, affirmant qu’elles sont inventées dans un contexte politique.

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