L’athlète, nigériane Blessing Okagbare, déjà suspendue pendant les JO de Tokyo pour un contrôle antidopage positif à l’hormone de croissance, fait l’objet de deux nouvelles accusations à la suite d’un contrôle positif à l’EPO et pour son refus de coopérer à l’enquête, a annoncé, ce jeudi, l’unité d’intégrité de l’athlétisme (AIU).
Déjà suspendu par l’unité d’intégrité de l’athlétisme avant les derniers JO, pour avoir été testée positive à l’hormone de croissance, la nigériane Blessing Okagbare, n’est pas aux bouts de ses peines.
Jeudi, l’AIU a informé que Okagbare faisait également l’objet d’une enquête après un contrôle positif à l’EPO, effectué au Nigéria le 20 juin, lors d’un test hors compétition. L’AIU a obtenu le résultat le 12 août, la sprinteuse en a été notifiée le 20 août.
The Athletics Integrity Unit has issued charges against ?? sprinter Blessing Okagbare in relation to three disciplinary matters.
— Athletics Integrity Unit (@aiu_athletics) October 7, 2021
Read the full statement below ?? ?? #AIUNews#MySportMyIntegrity#CleanSport#FairSport pic.twitter.com/dx7QdHxmkd
La nigériane est aussi poursuivie par l’organe pour refus de coopérer. Dans son communiqué, l’AIU indique que l’athlète nie toutes les charges contre elle et a demandé que chacune d’elles soit soumise à une audition avant le passage devant le tribunal disciplinaire.
