Le 8 mars de chaque année, la planète célèbre la Journée internationale de la femme (JIF). Cette année-ci, la commémoration de cet événement a viré à la s&xtape, dans une boîte de nuit, à Yaoundé, au Cameroun.
Le 8 mars est dédié à la gente féminine, à travers la Journée internationale de la femme (JIF), l’occasion au cours de laquelle les droits des femmes sont mis en lumière. Comme les années antérieures, depuis l’instauration de cet événement, aucun pays n’a dérogé à la règle. La planète entière a, donc, célébré le 8 mars 2022, dans un contexte de crise sanitaire, liée à la Covid-19, et de conflit, en Ukraine, entre autres.
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En effet, du côté du Cameroun, en Afrique de l’ouest, précisément, à Yaoundé, une scène obscène a été filmée dans une boîte de nuit. Dans la vidéo, qui est, abondamment, relayée, sur les réseaux sociaux, un jeune homme, apparemment, un adolescent, est en train d’avoir des relations sexuelles avec une jeune femme, assise sur un fauteuil, sous le regard admirateur de leurs amis, présents, sur les lieux. Sur les images, les « clients » sont presqu’à poils et jubilent.
Devant ce qui peut être qualifié de banalisation de la débauche, alors que certains internautes ont été choqués, affichant indignation et incompréhension, d’autres, au contraire, sont en extase, suite à la vue de cette vidéo explicite.
« On appelle ça, la vulgarité de la femme, car une femme qui se respecte ne peut pas accepter de faire ça devant tout le monde et à la Journée où on célèbre son soi-disant droit. Je suis vraiment écœurée😢😢😢 », dénonce @mach.an137, alors que, pour @itsglamtv, « la fête était sucrée, hier (mardi 8 mars, Ndlr), à Yaoundé, pour la célébration de la Journée internationale des droits de la femme… ».
Depuis quelques années, la production de s&xtape-amateur afflue, sur les réseaux sociaux. Des célébrités aux personnes lambda, le phénomène est devenu, tellement, banal que n’importe qui veut s’adonner à cet exercice, ignorant les conséquences néfastes, notamment, sur la jeunesse.