Traitée de « mangeuse » de caca, voici la cinglante réplique d’Eudoxie Yao

Suite à sa publication du samedi 30 avril 2022, cherchant à savoir ce qui se passait, à Dubaï, au milieu du phénomène « Dubaï Porta Potty », Eudoxie Yao a été traitée de « mangeuse » de caca. Dans la foulée, la Go Bobaraba a fait une nouvelle sortie, pour remettre les pendules à l’heure.

Au milieu de ce cafouillage médiatique, alors que les internautes nageaient dans la confusion, la plus totale, la célèbre influenceuse ivoirienne, Eudoxie Yao, a mis à jour son statut Facebook, le samedi 30 avril 2022. Dans ladite publication, la célébrité ivoirienne, à la courbe généreuse, a laissé lire qu’elle n’en savait rien. « Qu’est-ce qui se passe à Dubaï, mes bébés ? Affairez-moi ooooh ! », avait-elle écrit, sur sa page Facebook.

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Ce qui aurait, peut-être, été une façon de rechercher la vérité a fini par donner des sueurs froides à la chanteuse, aux 5,5 millions d’abonnés. Suite à la publication de ce post, les réactions sont allés dans tous les sens.

« Je suis pas prête à tout pour de l’argent »

Selon les dires de l’influenceuse, elle n’était pas au courant de ce qui se passait, à propos de cette affaire de Dubaï Porta Potty, avant d’avoir été « affairée » par une cousine. « Je vais me répéter, encore. Hier, j’ai fait un post pour demander à une cousine ce qui se passe à Dubaï. (…) Je ne savais pas. C’est une cousine, qui m’a envoyé la vidéo. La vidéo est dans mon téléphone, elle est dégueulasse. (…) L’image est restée dans ma tête. (…) C’est ma première fois d’entendre qu’on mange caca », a-t-elle fait savoir. « J’étais perdue, je ne comprenais rien. (…) Je ne savais pas que cela existait. (…) ».

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À la question d’un internaute de savoir ce qu’elle s’en va, souvent, faire, à DubaÏ, Eudoxie répond : « Moi, ce sont mes fans, c’est mon travail, qui me done de l’argent. On me donne, peut-être, 100 000 ou 50 000 dollars. Je connais des fans multi-milliardaires, je n’ai pas besoin de coucher avec quelqu’un, pour avoir de l’argent. (…) Ce n’est pas moi, qui paie. À chacun, son jour ; à chacun, sa grâce. (…) C’était mon jour d’anniversaire. Donc, calmos, calmos ! »

Elle interroge : « Ma bouche sainte, comme ça là, peut manger caca ? », avant d’ajouter : « J’aime l’argent, mais je suis pas prête à tout pour de l’argent. (…) ».