Quelque part, dans le centre du Nigéria, des lycéennes auraient été arrêtées, avec des têtes humaines, cachées dans leurs sacs de cours. Le pot aux roses aurait été découvert par le chauffeur, qui les transportait.
Quatre jeunes lycéennes auraient été appréhendées, parce qu’il aurait été découvert, par-devers elles, des têtes humaines qu’elles avaient, soigneusement, dissimulées dans leurs sacs de cours, apprend-on des médias locaux.
Les faits
Les faits, à en croire des sources, se seraient produites, le mercredi 16 février 2022. Selon les premiers rapports de la police, les mises en cause ont été confondues, après que le chauffeur de taxi, qui les transportait, aurait senti une odeur nauséabonde, à l’intérieur de son véhicule.
En effet, voulant, probablement, en avoir le cœur net, le conducteur aurait eu la présence d’esprit de conduire ses passagères jusqu’au portail de leur établissement, où elles auraient été remises au portier. Suite à cela, une fouille minutieuse des jeunes apprenantes aurait permis de faire la terrible découverte : ces adolescentes avaient, en leur possession, des têtes humaines.
Alertées, les forces de l’ordre se seraient saisies du dossier. Suite à un interrogatoire poussé, les jeunes filles auraient fini par avouer que les parties humaines seraient destinées à des rituels, pour avoir de l’argent.
Cette énième découverte macabre arrive, pile, au moment, où les autorités nigérianes promettent des sanctions exemplaires, à l’encontre des auteurs de crimes rituels.
D’ailleurs, très récemment, le Président de la République fédérale du Nigéria, Muhammadu Buhari, est sorti de ses gonds, pour se prononcer sur ce phénomène, qui a la peau dure, appelant la communauté, les chefs religieux, les autorités locales, les gouvernements des Etats, et les forces de l’ordre à prendre les mesures légales nécessaires, afin que les crimes rituels soient bannis.