Dubaï Porta Potty : des influenceuses « mangent » du caca humain dans le Golfe !

Depuis quelques heures, une affaire choquante fait le chou gras des médias. Il s’agit du phénomène, Dubaï Porta Porty, qui impliquerait de présumées influenceuses, qui s’adonneraient à la consommation d’excréments humains, entre autres, afin de se faire de l’argent.

C’est fou, ce que les gens sont capables de pousser les limites, afin de se faire de l’argent. Ce n’est, d’ailleurs, pas un crime, quand quelqu’un fait tout et n’importe quoi, dans le but d’en tirer profit. Ce qui importe, cependant, c’est de ne pas aller à l’encontre des bonnes mœurs. Et pourtant, ce que le présent article va vous révéler vous fera tomber à la renverse, tant l’affaire n’a rien d’une fiction.

« Toilettes portables de Dubaï »

L’information de ces dernières heures, qui enflamment les réseaux sociaux, c’est le phénomène, Dubaï Porta Porty (Toilettes Portables de Dubaï). Loin d’être une activité récréative ou une séance éducative, cette affaire relève, à n’en point douter, de la dépravation des mœurs, au sens premier du terme. Cette sordide affaire impliquerait des célébrités des réseaux sociaux, qui s’exposeraient à des actes dégradants, juste, pour se remplir les poches.

Selon les information de dubaiportapotty.top, les fameuses Dubaï Porta Potty sont des femmes, qui sont réduites à ce qui peut être qualifié de « toilettes humaines », sous les ordres de célèbres et riches hommes d’affaires du Golfe. En d’autres termes, ces jeunes femmes, pour se faire quelques milliers de dollars, sont soumises à des actes, défiant toute logique : « manger » des excréments humains ou entretenir des rapports sexuels avec des animaux.

15 000 à 20 000 dollars, pour « manger » du caca humain

Les sources précisent qu’une bonne partie de ces jeunes dames, qui font la pluie et le beau temps, sur les réseaux sociaux, sous l’aspect d’influenceuses fortunées, est, en réalité, constituée de « toilettes portables », qui perçoivent, entre 15 000 et 20 000 dollars, pour avoir assuré cette basse besogne.

Les mêmes sources relatent que le phénomène, lui-même, n’est que la partie visible de l’iceberg. Derrière ces jeunes femmes, qui se font traiter, comme de vulgaires objets, en effet, se cache une entreprise bien organisée, qui a étendu ses tentacules, partout, dans le monde. Les candidates, à en croire les informations, qui sont parvenues à notre rédaction, sont recrutées par des agents, qui, à leur tour, se chargent de transférer les « toilettes portables », vers le Golfe. La suite, vous la connaissez, déjà.