Au détour d’une vidéo, postée sur sa chaine YouTube, dimanche 12 décembre 2021, le célèbre avatar ivoirien, Chis Yapi, vient de mettre, sur la place publique, des informations croustillantes, liées à la présidence ivoirienne.
Chris Yapi fait, à nouveau, parler de lui sur la toile. L’avatar ivoirien, dont on ignore l’identité, vient d’inonder les réseaux sociaux, de révélations fracassantes, à propos de la présidence de Côte d’Ivoire.
Chris Yapi évoque, notamment, une discrimination, qui aurait cours au sein de l’armée ivoirienne, crise entretenue, selon l’avatar, par Alassane Ouattara, lui-même. Alassane Ouattara « poursuit sa politique de division de l’armée », dévoile-t-il, dans sa vidéo de 1 minute 54 secondes, ajoutant « que les soldats ivoiriens poussent des grognements à l’heure actuelle en raison de l’insuffisance de leur paye.».
Le cyber-activiste poursuit ses révélations, en affirmant que, selon des enquêtes internes, vu la grogne, qui couve au sein de l’armée, en rapport au traitement, qui est fait aux soldats, en termes de solde, ces derniers seraient en train d’envisager des manifestations publiques. « Plusieurs sources de renseignement lui (Alassane Ouattara) ont produit des rapports, décrivant une baisse du moral des troupes et une montée du mécontentement au sein des soldats.
Ils se plaignent de l’insuffisance rachitique de leur solde, pendant qu’ils voient leurs chefs et leur ministre de tutelle devenir, outrageusement, riches sous leurs yeux. Ils ont commencé à murmurer entre eux et à faire des plans pour revendiquer quelques subsides à l’occasion de ces fêtes de fin d’année », a expliqué Chris Yapi, dans sa production.
Pour couper l’herbe sous le pied des éventuels futurs protestataires, Alassane Ouattara aurait, à en croire le cyber-activiste, prévu de majorer, de 100.000 FCFA, la solde de base des ex-combattants, intégrés dans les FACI (Forces Armées de Côte d’Ivoire), laissant, ainsi, sur le carreau, les gendarmes.
Cette augmentation, selon Chris Yapi, devrait prendre effet, pour compter de janvier 2022. Pour le moment, les autorités ivoiriennes n’ont pas réagi à ces déclarations, laissant, libre cours, à toute forme de spéculations.